"On avait entamé des négociations avec l'Etat...Et dès l'entame des discussions, les autorités avaient décidé de ne plus détruire ces maisons qu'ils vont maintenir sur le site jusqu'à ce qu'une solution définitive soit trouvée. Et c'est par rapport à cette décisions que ces maisons sont restées. Notre interlocuteur nous a saisi tout récemment pour dire que l'ensemble des propositions qui ont été fournies aussi bien par la commission technique que par les victimes, ont été validées par le président de la République", décline Médoune Seck.
Le porte-parole du collectif des victimes ajoute qu'ils négociaient "avec la Primature au nom de l'Etat". Et dans ce sens, ils "avaient fait des propositions" tout comme "la commission technique composée de l'ensemble des services de l'Etat". "La Primature nous a dit que le président de la République allait nous recevoir pour partager avec nous des solutions qui ont été arrêtées par rapport à la démolition des maisons", explique ce dernier. Aujourd'hui, précise toutefois Médoune Seckl sur la Rfm, "il faut que dans cette entente là, l'Etat prenne en considération les facteurs socio-économiques parce qu'il faut noter qu'il y a des personnes qui sont passés de propriétaires à locataires. Il y en a qui avaient vendu leur maison...".
Le porte-parole du collectif des victimes ajoute qu'ils négociaient "avec la Primature au nom de l'Etat". Et dans ce sens, ils "avaient fait des propositions" tout comme "la commission technique composée de l'ensemble des services de l'Etat". "La Primature nous a dit que le président de la République allait nous recevoir pour partager avec nous des solutions qui ont été arrêtées par rapport à la démolition des maisons", explique ce dernier. Aujourd'hui, précise toutefois Médoune Seckl sur la Rfm, "il faut que dans cette entente là, l'Etat prenne en considération les facteurs socio-économiques parce qu'il faut noter qu'il y a des personnes qui sont passés de propriétaires à locataires. Il y en a qui avaient vendu leur maison...".