Lundi 22 janvier 2024 à Genève (Suisse), le Sénégal sera devant la barre du Conseil des droits de l’homme de l’Onu. Parmi les 195 pays dans le monde, le Sénégal de Macky Sall fait partie des 14 Etats qui vont se soumettre à une revue périodique. « Le Témoin » quotidien a appris que les cas de répression barbare et de persécution politique au Sénégal, seront soulevés par l’accusation.
Sans oublier d’autres atteintes aux droits humains liées aux affaires juridiques et politiques. Accompagnée d’une forte délégation, Me Aissata Tall Sall, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, a décidé de se retrousser les manches pour défendre l’Etat du Sénégal, au cours de cette 44e session du Groupe de travail de l’Examen périodique universel (Epu), dont les débats seront retransmis en direct sur les plateformes visuelles de l’Onu, précise le journal.
En réalité, souligne "Le Témoin", la situation des droits de l’homme au Sénégal sera examinée pour la quatrième fois devant l’Epu. Un tribunal des pairs qui permet d’examiner périodiquement la situation des droits de l’homme, dans les États membres des Nations-Unies.
Sans oublier d’autres atteintes aux droits humains liées aux affaires juridiques et politiques. Accompagnée d’une forte délégation, Me Aissata Tall Sall, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, a décidé de se retrousser les manches pour défendre l’Etat du Sénégal, au cours de cette 44e session du Groupe de travail de l’Examen périodique universel (Epu), dont les débats seront retransmis en direct sur les plateformes visuelles de l’Onu, précise le journal.
En réalité, souligne "Le Témoin", la situation des droits de l’homme au Sénégal sera examinée pour la quatrième fois devant l’Epu. Un tribunal des pairs qui permet d’examiner périodiquement la situation des droits de l’homme, dans les États membres des Nations-Unies.