Pour ceux qui viennent de rattraper de l’information, ce scandale avait été éventé en 2014 et a fait à l’époque, les choux gras de la presse. Le Directeur général de la police de l’époque, le commissaire Abdoulaye Niang cité dans l’affaire, a été limogé et remplacé par le Commissaire Anna Sémou Faye. Le commissaire Niang a été dénoncé explicitement par le Commissaire Cheikhna Keïta, alors patron directeur de l’Ocrtis.
Ce dernier a aussi perdu son fauteuil puis a été radié pour avoir « trop parlé » à la presse. Suite à une information judiciaire, les gradés de la police alors «mouillés», ont bénéfice d’un non-lieu. Seules trois personnes considérées comme des lampistes sont appelées devant la barre. Il s’agit d’Ibrahima Dieng, agent de l’Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis), sa copine Awa Thiam et la mère de celle-ci. Ils sont poursuivis de trafic international de drogue, association de malfaiteurs et blanchiment de capitaux. Ils risquent dix ans de prison ferme pour ces faits.
Ce dernier a aussi perdu son fauteuil puis a été radié pour avoir « trop parlé » à la presse. Suite à une information judiciaire, les gradés de la police alors «mouillés», ont bénéfice d’un non-lieu. Seules trois personnes considérées comme des lampistes sont appelées devant la barre. Il s’agit d’Ibrahima Dieng, agent de l’Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis), sa copine Awa Thiam et la mère de celle-ci. Ils sont poursuivis de trafic international de drogue, association de malfaiteurs et blanchiment de capitaux. Ils risquent dix ans de prison ferme pour ces faits.