La Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l'Homme (RADDHO) s’est prononcée hier, lors d’une conférence de presse à Dakar sur les affaires Bara Sow et Ababacar Diagne, tués le 22 avril 2012, dans une bagarre à Médinatoul Salam (Mbour).
L’organisation a fait part de ses préoccupations au sort des seize personnes poursuivies, qui croupissent toujours en prison.
Alors que, dit-elle le principal accusé (Cheikh Béthio Thioune) bénéficie d’une liberté provisoire et vaque tranquillement à ses occupations, malgré le bouclage de l’instruction depuis longtemps.
La Raddho appelle ainsi au respect des règles élémentaires d’une bonne justice notamment le traitement rapide des dossiers relatifs aux crimes conformément à des engagements internationaux souscrits par le Sénégal comme celui du comité des Nations unies contre la torture et les traitements inhumains cruels et dégradants.
L’organisation a fait part de ses préoccupations au sort des seize personnes poursuivies, qui croupissent toujours en prison.
Alors que, dit-elle le principal accusé (Cheikh Béthio Thioune) bénéficie d’une liberté provisoire et vaque tranquillement à ses occupations, malgré le bouclage de l’instruction depuis longtemps.
La Raddho appelle ainsi au respect des règles élémentaires d’une bonne justice notamment le traitement rapide des dossiers relatifs aux crimes conformément à des engagements internationaux souscrits par le Sénégal comme celui du comité des Nations unies contre la torture et les traitements inhumains cruels et dégradants.