L'oligarchie sanitaire dévore toutes les ressources sur son passage, au point de laisser mourir des patients pour favoriser leurs intérêts financiers. Il s'agit là d'un conflit d'intérêts flagrant où les patients se voient contraints de payer pour accéder à des soins de qualité dans les cliniques privées, faute de quoi ils sont relégués à des hôpitaux publics où la négligence règne en maître.
Le constat est d'autant plus alarmant lorsque l'on réalise que ce sont souvent les mêmes médecins et infirmiers qui exercent à la fois dans le privé et dans le public, favorisant délibérément les patients solvables au détriment de ceux démunis. Pour obtenir une place dans un hôpital public, il faut parfois qu'un patient décède, comme en témoignent plusieurs malades.
"Parfois, les médecins prétendent qu'il n'y a pas de place disponible pour la dialyse, alors que ce n'est pas vrai. C'est le cas à Touba. Ils demandent même des pots-de-vin pour obtenir une place", confie une accompagnante de patient. Un patient renchérit : "J'ai vu une patiente décéder par négligence". À Saint-Louis, Banda Sarr martèle qu'à la limite dialysés meurent "comme des mouches"."
Le constat est d'autant plus alarmant lorsque l'on réalise que ce sont souvent les mêmes médecins et infirmiers qui exercent à la fois dans le privé et dans le public, favorisant délibérément les patients solvables au détriment de ceux démunis. Pour obtenir une place dans un hôpital public, il faut parfois qu'un patient décède, comme en témoignent plusieurs malades.
"Parfois, les médecins prétendent qu'il n'y a pas de place disponible pour la dialyse, alors que ce n'est pas vrai. C'est le cas à Touba. Ils demandent même des pots-de-vin pour obtenir une place", confie une accompagnante de patient. Un patient renchérit : "J'ai vu une patiente décéder par négligence". À Saint-Louis, Banda Sarr martèle qu'à la limite dialysés meurent "comme des mouches"."