Le chef de l'exécutif local considère que cette occupation constitue aujourd'hui un problème de sécurité, de salubrité et de mobilité. «C'est à ces gens qui ont d'ailleurs reçu de sommations depuis une semaine et à qui on a demandé de quitter effectivement, les alentours de la prison de Rebeuss et les alentours du Palais de justice. Ce sont des mécaniciens, des ouvriers, des occupants illégaux et anarchiques. C'est à ces gens qui ont reçu des sommations qu'on a demandé de quitter. Vous pouvez aller vérifier le contenu des sommations. On a dit les personnes occupant de manière irrégulière et illégale les alentours de la prison de Rebeuss», précise Djiby Diallo dans les colonnes du Populaire.
Revenant sur cette question relative aux sommations adressées aux occupants irréguliers, le sous-préfet de Dakar-Plateau ne compte pas reculer. «L'occupation illégale de la voie publique ne peut pas faire l'objet de négociation. On ne peut pas se lever, occuper la voie publique illégalement et ensuite se prévaloir de certains droits. En tout cas, tant que je serais à Dakar, les gens quitteront la rue, ça c'est clair», a prévenu le Sous-préfet qui ajoute : «De la même manière, ceux qui occupent les alentours de l’hôpital Abass Ndao ont reçu leurs sommations, ils sont appelés à quitter. Ils vont quitter, parce qu’on va les faire quitter. On montrera à ces gens que force restera à la loi. Ça, il faudrait que ça soit clair. Une fois de plus, les populations de Rebeuss n’ont rien à voir avec cela».
Revenant sur cette question relative aux sommations adressées aux occupants irréguliers, le sous-préfet de Dakar-Plateau ne compte pas reculer. «L'occupation illégale de la voie publique ne peut pas faire l'objet de négociation. On ne peut pas se lever, occuper la voie publique illégalement et ensuite se prévaloir de certains droits. En tout cas, tant que je serais à Dakar, les gens quitteront la rue, ça c'est clair», a prévenu le Sous-préfet qui ajoute : «De la même manière, ceux qui occupent les alentours de l’hôpital Abass Ndao ont reçu leurs sommations, ils sont appelés à quitter. Ils vont quitter, parce qu’on va les faire quitter. On montrera à ces gens que force restera à la loi. Ça, il faudrait que ça soit clair. Une fois de plus, les populations de Rebeuss n’ont rien à voir avec cela».
