Dans sa plainte, le sieur M E Hafedh, agent administratif dans une société de la place, a indiqué que ce jour-là, la jeune dame est brusquement entrée dans son salon sans crier gare en se comportant comme une malade mentale qui s’était égarée. C’était vers les coups de 20 heures.
Le mauritanien, qui se trouvait au 1er étage en compagnie de ses 3 amis, explique que lorsque la dame est entrée, il était en communication avec son second téléphone. Tout de suite, la jeune dame, qui avait repéré l’autre téléphone, s’est empressée de soulever son pagne. Puis, elle s’est assise sur le tapis à côté du portable qu’elle a couvert expressément avec son pagne. Et, le temps que Hafedh se déplace pour dire à ses amis de la conduire hors de chez lui, la femme avait disparu avec le portable
Ce n’est que le lendemain que le mauritanien va rencontrer la jeune dame dans le quartier. L’ayant de suite reconnu, il lui demandera son portable. La jeune dame lui lancera à la figure qu’elle l’avait déjà vendu à la Médina moyennant la somme de 25.000 F Cfa. Ce, alors qu’en réalité, le portable vaut 150.000 F Cfa.
C’est dans ses circonstances qu’il a conduit la voleuse au Commissariat de Dieuppeul. Devant les hommes du Commissaire Marème Diao, la mise en cause a tout de suite dit aux enquêteurs qu’elle n’a pas d’époux et qu’elle a des besoins à gérer. Elle s’est ensuite expliquée sur son modus operendi avant d’être déférée au Parquet.
Le mauritanien, qui se trouvait au 1er étage en compagnie de ses 3 amis, explique que lorsque la dame est entrée, il était en communication avec son second téléphone. Tout de suite, la jeune dame, qui avait repéré l’autre téléphone, s’est empressée de soulever son pagne. Puis, elle s’est assise sur le tapis à côté du portable qu’elle a couvert expressément avec son pagne. Et, le temps que Hafedh se déplace pour dire à ses amis de la conduire hors de chez lui, la femme avait disparu avec le portable
Ce n’est que le lendemain que le mauritanien va rencontrer la jeune dame dans le quartier. L’ayant de suite reconnu, il lui demandera son portable. La jeune dame lui lancera à la figure qu’elle l’avait déjà vendu à la Médina moyennant la somme de 25.000 F Cfa. Ce, alors qu’en réalité, le portable vaut 150.000 F Cfa.
C’est dans ses circonstances qu’il a conduit la voleuse au Commissariat de Dieuppeul. Devant les hommes du Commissaire Marème Diao, la mise en cause a tout de suite dit aux enquêteurs qu’elle n’a pas d’époux et qu’elle a des besoins à gérer. Elle s’est ensuite expliquée sur son modus operendi avant d’être déférée au Parquet.