Le Conseil municipal de Nabadji est secoué par une rocambolesque affaire de disparition d’ordinateurs. En fait, sur un don de 25 ordinateurs flambant neufs, destinés aux populations de Nabadji, 14 ont disparu.
L’enquête ouverte par la gendarmerie de Ouorossogui a abouti à l’interpellation du 1er adjoint au maire, M. Dème. À Nabadji où cette affaire fait grand bruit, les populations réclament leurs machines. Les ordinateurs en question, sont destinés, les unes à des écoles de la ville et les autres à des associations.
C’est la semaine dernière que le lot est arrivé à Nabadji, avant d’être remis au Conseil municipal. Mais au décompte, l’amer constat est fait qu’un certain nombre d’ordinateurs a disparu.
Dans la même commune, le Conseil municipal est à couteaux tirés avec le sous-préfet, sur un lotissement que ce dernier ne veut pas approuver.
En effet, contre l’intérêt des habitants, le Conseil municipal a délibéré sur une assiette de 20 hectares. Mais le sous-préfet d’Ogo d’où dépend Nabadji, refuse d’apposer sa signature sur la délibération, au motif qu’elle dépasse sa compétence.
Pour rappel, suivant un décret du président de la République, il est désormais interdit aux représentants de l’État d’approuver des délibérations qui dépassent certaines superficies. Pour les sous-préfets, c’est 5 hectares. Au moment où cette affaire fait débat dans le «Dandé Maayo», les populations de la Commune de Nabadji Civol, qui est la plus peuplée de la région de Matam et regroupe le plus grand nombre d’électeurs, sont dans l’attente des promesses qui leur ont été faites par les élus.
Nabadji manque d’infrastructures adéquates, la place publique peine à abriter le marché. La frustration est grande chez les étudiants de la localité et les Asc, dont les subventions ont été retirées du budget.
Tribune
L’enquête ouverte par la gendarmerie de Ouorossogui a abouti à l’interpellation du 1er adjoint au maire, M. Dème. À Nabadji où cette affaire fait grand bruit, les populations réclament leurs machines. Les ordinateurs en question, sont destinés, les unes à des écoles de la ville et les autres à des associations.
C’est la semaine dernière que le lot est arrivé à Nabadji, avant d’être remis au Conseil municipal. Mais au décompte, l’amer constat est fait qu’un certain nombre d’ordinateurs a disparu.
Dans la même commune, le Conseil municipal est à couteaux tirés avec le sous-préfet, sur un lotissement que ce dernier ne veut pas approuver.
En effet, contre l’intérêt des habitants, le Conseil municipal a délibéré sur une assiette de 20 hectares. Mais le sous-préfet d’Ogo d’où dépend Nabadji, refuse d’apposer sa signature sur la délibération, au motif qu’elle dépasse sa compétence.
Pour rappel, suivant un décret du président de la République, il est désormais interdit aux représentants de l’État d’approuver des délibérations qui dépassent certaines superficies. Pour les sous-préfets, c’est 5 hectares. Au moment où cette affaire fait débat dans le «Dandé Maayo», les populations de la Commune de Nabadji Civol, qui est la plus peuplée de la région de Matam et regroupe le plus grand nombre d’électeurs, sont dans l’attente des promesses qui leur ont été faites par les élus.
Nabadji manque d’infrastructures adéquates, la place publique peine à abriter le marché. La frustration est grande chez les étudiants de la localité et les Asc, dont les subventions ont été retirées du budget.
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