«Suite à l’appel fait par Ousmane Sonko, tout ce qui se produira cette semaine sera rangé dans le compte de l’opposition irresponsable. Tout le monde a entendu l’appel de Ousmane Sonko et ni la société civile ni les responsables de l’opposition n’ont tenté de freiner le leader de Pastef dans ses déclarations intempestives de va-t-en guerre et d’appel à l’insurrection», prévient Moussa Sow, coordonnateur de la Cojer.
Selon lui, «en lieu et place de former cette jeunesse pour qu’elle ait un esprit d’entrepreneuriat, il (Ousmane Sonko: ndlr) les appelle à la violence, pour détruire ce que d’honnêtes citoyens ont bâti à la sueur de leur front».
«Les responsables de l’opposition comme Khalifa Sall, Habib Sy... sont plus expérimentés que Ousmane Sonko. Ils ne doivent pas se laisser emporter par l’agenda personnel de Ousmane Sonko. Il a deux problèmes qu’il doit résoudre devant la justice : une affaire de diffamation l’opposant à Mame Mbaye Niang et le dossier de viol avec la dame Adji Sarr», laisse entendre le coordonnateur de la Cojer, qui estime que dans ces affaires, «l’Etat du Sénégal à travers son gouvernement, n’est nullement concerné».
Pour couper court, il a appelé à davantage de mobilisations de la part des jeunes de la coalition présidentielle. « Nous avons alerté tous nos jeunes à rester vigilants pour défendre les intérêts des Sénégalais. Quand le Président Macky Sall construit et nous fait beaucoup de réalisations, l’obligation est à nous de les protéger contre les malfaiteurs, les casseurs et les ennemis du pays. Nous avons prévu des mobilisations partout dans les départements, pour aider les Sénégalais à protéger leurs biens.»
Inutile maintenant de dire que l’Etat à travers les forces de défense et de sécurité, jouera pleinement ses responsabilités pour préserver la paix, la sécurité et la tranquillité. Devant les journalistes le week-end dernier, les leaders de la coalition Yewwi Askan Wi ont annoncé qu’ils tiendront, avec ou sans autorisation, un grand rassemblement à Dakar, les 14 et le 15 mars 2023, des marches dans les 46 départements du pays. Ils veulent dénoncer l’«instrumentation de la Justice» et les «arrestations arbitraires».
Plus virulent, Ousmane Sonko lançait : «Je donne l’autorisation à mes partisans de manifester, avec ou sans autorisation. S’ils ont à arrêter quelqu’un, ils n’ont qu’à venir m’arrêter. Parce que, dans la Constitution, il est stipulé qu’on a le droit de marcher ou de manifester. Personne ne va demander une autorisation».
Selon lui, «en lieu et place de former cette jeunesse pour qu’elle ait un esprit d’entrepreneuriat, il (Ousmane Sonko: ndlr) les appelle à la violence, pour détruire ce que d’honnêtes citoyens ont bâti à la sueur de leur front».
«Les responsables de l’opposition comme Khalifa Sall, Habib Sy... sont plus expérimentés que Ousmane Sonko. Ils ne doivent pas se laisser emporter par l’agenda personnel de Ousmane Sonko. Il a deux problèmes qu’il doit résoudre devant la justice : une affaire de diffamation l’opposant à Mame Mbaye Niang et le dossier de viol avec la dame Adji Sarr», laisse entendre le coordonnateur de la Cojer, qui estime que dans ces affaires, «l’Etat du Sénégal à travers son gouvernement, n’est nullement concerné».
Pour couper court, il a appelé à davantage de mobilisations de la part des jeunes de la coalition présidentielle. « Nous avons alerté tous nos jeunes à rester vigilants pour défendre les intérêts des Sénégalais. Quand le Président Macky Sall construit et nous fait beaucoup de réalisations, l’obligation est à nous de les protéger contre les malfaiteurs, les casseurs et les ennemis du pays. Nous avons prévu des mobilisations partout dans les départements, pour aider les Sénégalais à protéger leurs biens.»
Inutile maintenant de dire que l’Etat à travers les forces de défense et de sécurité, jouera pleinement ses responsabilités pour préserver la paix, la sécurité et la tranquillité. Devant les journalistes le week-end dernier, les leaders de la coalition Yewwi Askan Wi ont annoncé qu’ils tiendront, avec ou sans autorisation, un grand rassemblement à Dakar, les 14 et le 15 mars 2023, des marches dans les 46 départements du pays. Ils veulent dénoncer l’«instrumentation de la Justice» et les «arrestations arbitraires».
Plus virulent, Ousmane Sonko lançait : «Je donne l’autorisation à mes partisans de manifester, avec ou sans autorisation. S’ils ont à arrêter quelqu’un, ils n’ont qu’à venir m’arrêter. Parce que, dans la Constitution, il est stipulé qu’on a le droit de marcher ou de manifester. Personne ne va demander une autorisation».