Ibrahima Niass dit Baye Ciss, homme d’affaires, invité à l’émission "le Jury du Dimanche", ce 26 juin 2022, révèle : « Vous n’êtes pas sans savoir que Baye Niass a des millions de disciples à travers le monde. Tout cela est dû au fait qu’il a très tôt su réconcilier ces populations avec l’Islam. Ce qui a valu à notre khalife, Cheikh Mahi Niass, de pouvoir très rapidement, mettre tout le monde d’accord au tour de la paix, à travers le Coran et l’islam.
Cette diplomatie religieuse méritait même qu’on lui décerne le Prix Nobel de la Paix. Quand on sait que les Nations-Unies, toutes les grandes institutions internationales, ont tout fait pour faire baisser les armes au Soudan, et qu’en une semaine, le khalife a mis tout le monde d’accord. Cela méritait ce prix’’, a-t-il déclaré devant Mamoudou Ibrahima Kane.
Pour lui, cette requête, c’est l’État du Sénégal qui devait même la porter. À l’en croire, ce qui a facilité la mission de Cheikh Mahi, c’est la foi que les communautés partagent avec le guide religieux. Ce que les institutions internationales n’ont pas dans leur démarche. ‘’ La communauté internationale a tout fait, tout essayé, elle n’a jamais pu réussir à faire tomber d’accord les communautés en conflit. C’est parce qu’ils avaient pas la foi en ce qu'on leur disait. Chaque partie pensait que telle institution avait pris parti pour l’autre’’, a-t-il souligné.
Pour que cette paix soit durable, Baye Ciss estime qu’un suivi est nécessaire. C’est ainsi qu’il a invité l’État soudanais à jouer sa partition.
Cette diplomatie religieuse méritait même qu’on lui décerne le Prix Nobel de la Paix. Quand on sait que les Nations-Unies, toutes les grandes institutions internationales, ont tout fait pour faire baisser les armes au Soudan, et qu’en une semaine, le khalife a mis tout le monde d’accord. Cela méritait ce prix’’, a-t-il déclaré devant Mamoudou Ibrahima Kane.
Pour lui, cette requête, c’est l’État du Sénégal qui devait même la porter. À l’en croire, ce qui a facilité la mission de Cheikh Mahi, c’est la foi que les communautés partagent avec le guide religieux. Ce que les institutions internationales n’ont pas dans leur démarche. ‘’ La communauté internationale a tout fait, tout essayé, elle n’a jamais pu réussir à faire tomber d’accord les communautés en conflit. C’est parce qu’ils avaient pas la foi en ce qu'on leur disait. Chaque partie pensait que telle institution avait pris parti pour l’autre’’, a-t-il souligné.
Pour que cette paix soit durable, Baye Ciss estime qu’un suivi est nécessaire. C’est ainsi qu’il a invité l’État soudanais à jouer sa partition.