La perversité de Pape Mor Diouf n’a pas de limite. L’homme d’une quarantaine d’années qui abusait sexuellement de sa belle-fille depuis plusieurs années, a été condamné, ce jeudi, à une peine d’emprisonnement ferme de trois ans.
À la barre, la gamine a désigné son beau-père, déjà condamné dans le passé, comme celui qui abusé d’elle une bonne centaine de fois à chaque fois que sa mère avait le dos tourné.
Selon D. Diouf qui a confié qu’elle vivait avec son beau-père et sa mère dans une même chambre, Pape Mor Diouf couchait avec elle et la menaçait de la violenter si elle racontait l’horreur qu’il lui faisait vivre, à qui que ce soit.
C’est parce qu’elle est allée tout raconter à sa tante maternelle que le père de la gamine, muni d’un certificat médical attestant de déchirures hyménales anciennes de sa fille, est allé porter plainte contre l’époux de son ex-femme.
Entendu à la barre, le beau-père a tout nié en bloc, jurant n’avoir jamais touché une seule fois à la petite D.Diouf. Sa version des faits a été confirmée par son épouse, Déguène Diop, la mère de D. Diouf. D’après elle, ces histoires ne sont que le fruit de l’imagination de sa fille qui déteste son beau-père.
Il faut souligner qu’avant d’en arriver là, le père de la gamine a signé une lettre de désistement. Plutôt sceptique, le procureur Baye Thiam s’en est rapporté à la sagesse du tribunal. Il a expliqué que les éléments du dossier ne lui permettaient pas de requérir quoi que ce soit contre l’accusé.
Pour sa part, l’avocat de la défense, Me Serigne Diongue, a plaidé pour la relaxe pure et simple de son client, indiquant que le tribunal ne dispose d’aucun élément pour entrer en voie de condamnation contre Pape Mor Diouf. Le tribunal a finalement condamné l’accusé à trois ans d’emprisonnement ferme.
Igfm
À la barre, la gamine a désigné son beau-père, déjà condamné dans le passé, comme celui qui abusé d’elle une bonne centaine de fois à chaque fois que sa mère avait le dos tourné.
Selon D. Diouf qui a confié qu’elle vivait avec son beau-père et sa mère dans une même chambre, Pape Mor Diouf couchait avec elle et la menaçait de la violenter si elle racontait l’horreur qu’il lui faisait vivre, à qui que ce soit.
C’est parce qu’elle est allée tout raconter à sa tante maternelle que le père de la gamine, muni d’un certificat médical attestant de déchirures hyménales anciennes de sa fille, est allé porter plainte contre l’époux de son ex-femme.
Entendu à la barre, le beau-père a tout nié en bloc, jurant n’avoir jamais touché une seule fois à la petite D.Diouf. Sa version des faits a été confirmée par son épouse, Déguène Diop, la mère de D. Diouf. D’après elle, ces histoires ne sont que le fruit de l’imagination de sa fille qui déteste son beau-père.
Il faut souligner qu’avant d’en arriver là, le père de la gamine a signé une lettre de désistement. Plutôt sceptique, le procureur Baye Thiam s’en est rapporté à la sagesse du tribunal. Il a expliqué que les éléments du dossier ne lui permettaient pas de requérir quoi que ce soit contre l’accusé.
Pour sa part, l’avocat de la défense, Me Serigne Diongue, a plaidé pour la relaxe pure et simple de son client, indiquant que le tribunal ne dispose d’aucun élément pour entrer en voie de condamnation contre Pape Mor Diouf. Le tribunal a finalement condamné l’accusé à trois ans d’emprisonnement ferme.
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