L 'Union départementale des associations des parents d'élèves de Diourbel plaide pour la signature d'un pacte social entre l'État et les syndicats d'enseignants. Monsieur Badara Ndiaye exhorte par ailleurs l'Etat à assainir le milieu enseignant.
"Dans ce bras de fer entre l'État et les syndicats d'enseignants, les élèves sont les grands perdants. Quand des gens se battent pour une équité et une justice, l'intérêt des élèves n'est jamais pris en compte », a lancé Monsieur Badara Ndiaye.
Et d'ajouter ; "les syndicats d'enseignants enfoncent le clou en disant si les ponctions sur les salaires ne sont pas remboursées, personne ne peut obliger les enseignants à rattraper les heures perdues. Tout le monde sait qu'un service qui n'est pas effectué pour fins de grève n'est pas payé. Les élèves ont perdu plus de 300 heures affectant dangereusement le quantum horaire".
Toutefois, l'Union départementale des associations des parents d'élèves remercie les enseignants de classes d'examens qui avaient continué de dispenser des cours pour les classes d'examen.
« Les parents d'élèves sont les parents pauvres de l'école. Toutes les revendications ont été prises en compte et réglées. Nous osons espérer qu'on n’entendra plus parler de grève ». Et il poursuit : "nous voulons que le milieu soit assaini. Nous voulons qu'un pacte social durable soit scellé afin d »arriver dans le consensus nécessaire à l'amélioration de la qualité des enseignements-apprentissages. Tout le monde sait que le niveau des élèves est très faible. Une évaluation périodique doit être faite à tous les niveaux pour changer la donne. On est en grève dans le public et on enseigne dans le privé. Les parents demandent à l'Etat de régler définitivement ce problème ».
Le Président de l'Union départementale des associations des parents d'élèves de Diourbel demande par ailleurs à l'Etat de revoir le décret fixant les inscriptions dans les lycées et collèges qui se situent entre 8000 et 12000 frs par élève. « Nous estimons que cela est beaucoup. Et en plus, il y a le mode de fonctionnement de comités de gestion ». Il fustige le fait que ses fonds publics soient gérés par le Principal ou le Proviseur et l'intendant. Les parents d'élèves qui sont membres de ces comités de gestion sont minoritaires alors que l'argent provient d'eux. Ce qui constitue un paradoxe. Rapporte Vipeoples .
"Dans ce bras de fer entre l'État et les syndicats d'enseignants, les élèves sont les grands perdants. Quand des gens se battent pour une équité et une justice, l'intérêt des élèves n'est jamais pris en compte », a lancé Monsieur Badara Ndiaye.
Et d'ajouter ; "les syndicats d'enseignants enfoncent le clou en disant si les ponctions sur les salaires ne sont pas remboursées, personne ne peut obliger les enseignants à rattraper les heures perdues. Tout le monde sait qu'un service qui n'est pas effectué pour fins de grève n'est pas payé. Les élèves ont perdu plus de 300 heures affectant dangereusement le quantum horaire".
Toutefois, l'Union départementale des associations des parents d'élèves remercie les enseignants de classes d'examens qui avaient continué de dispenser des cours pour les classes d'examen.
« Les parents d'élèves sont les parents pauvres de l'école. Toutes les revendications ont été prises en compte et réglées. Nous osons espérer qu'on n’entendra plus parler de grève ». Et il poursuit : "nous voulons que le milieu soit assaini. Nous voulons qu'un pacte social durable soit scellé afin d »arriver dans le consensus nécessaire à l'amélioration de la qualité des enseignements-apprentissages. Tout le monde sait que le niveau des élèves est très faible. Une évaluation périodique doit être faite à tous les niveaux pour changer la donne. On est en grève dans le public et on enseigne dans le privé. Les parents demandent à l'Etat de régler définitivement ce problème ».
Le Président de l'Union départementale des associations des parents d'élèves de Diourbel demande par ailleurs à l'Etat de revoir le décret fixant les inscriptions dans les lycées et collèges qui se situent entre 8000 et 12000 frs par élève. « Nous estimons que cela est beaucoup. Et en plus, il y a le mode de fonctionnement de comités de gestion ». Il fustige le fait que ses fonds publics soient gérés par le Principal ou le Proviseur et l'intendant. Les parents d'élèves qui sont membres de ces comités de gestion sont minoritaires alors que l'argent provient d'eux. Ce qui constitue un paradoxe. Rapporte Vipeoples .