C’est parce que, renseigne une source proche du milieu judiciaire, «les dossiers s’amoncellent sur la table du seul et unique juge d’instruction du tribunal de grande instance. Ce dernier est envahi par les dossiers. Cette situation est incompréhensible.
Un seul juge ne peut faire tout ce travail. Il faut un autre. Et dire que, dans un passé récent, Diourbel a compté jusqu’à trois juges d’instruction. C’est parce que le volume de travail est trop important. C’est la quatrième juridiction en matière de contentieux après Dakar, Pikine-Guédiawaye et Mbour».
Le manque de juge d’instruction fait que beaucoup de prévenus attendent d’être interrogés sur le fond. Las d’attendre, des prévenus ont joint Bés Bi pour annoncer une grève qu’ils comptent observer dés ce lundi (hier). Ils disent prendre cette mesure radicale malgré eux.
Lors de ce mouvement d’humeur, les interlocuteurs de Bés Bi, prévoient de ne pas accepter de repas venant de l’extérieur et de visites. Ils dénoncent la surpopulation carcérale.
A noter que le mois de novembre passé, des pensionnaires de la maison d’arrêt et de correction de Diourbel avaient observé une grève de la faim. Pour rappel, depuis l’affectation du juge en charge du 1er cabinet comme président du Tribunal d’instance de Keur Massar, Diourbel attend toujours l’arrivée d’un nouveau juge d’instruction.
Bes Bi
Un seul juge ne peut faire tout ce travail. Il faut un autre. Et dire que, dans un passé récent, Diourbel a compté jusqu’à trois juges d’instruction. C’est parce que le volume de travail est trop important. C’est la quatrième juridiction en matière de contentieux après Dakar, Pikine-Guédiawaye et Mbour».
Le manque de juge d’instruction fait que beaucoup de prévenus attendent d’être interrogés sur le fond. Las d’attendre, des prévenus ont joint Bés Bi pour annoncer une grève qu’ils comptent observer dés ce lundi (hier). Ils disent prendre cette mesure radicale malgré eux.
Lors de ce mouvement d’humeur, les interlocuteurs de Bés Bi, prévoient de ne pas accepter de repas venant de l’extérieur et de visites. Ils dénoncent la surpopulation carcérale.
A noter que le mois de novembre passé, des pensionnaires de la maison d’arrêt et de correction de Diourbel avaient observé une grève de la faim. Pour rappel, depuis l’affectation du juge en charge du 1er cabinet comme président du Tribunal d’instance de Keur Massar, Diourbel attend toujours l’arrivée d’un nouveau juge d’instruction.
Bes Bi