La responsable du bureau régional du Conseil national de développement de la nutrition (Cndn) de Diourbel, Ndèye Rokhaya Seck, a annoncé que le taux de malnutrition chronique chez les enfants âgés de 0 à 5 ans, est estimé à 19% dans la capitale du Baol.
En marge d’un atelier de deux jours consacrés à la revue régionale sur la nutrition, souligne "L'As", elle a déclaré : «Au niveau de la région de Diourbel, par rapport à la malnutrition chronique chez les enfants de 0 à 5 ans, on est à 19%, donc c’est une situation relativement satisfaisante. Si la prévalence de la malnutrition chronique est inférieure à 20%, vraiment, c’est que la situation est satisfaisante. Il y a encore des enfants dans la région de Diourbel qui souffrent de retards de croissance ou bien de malnutrition chronique, raison pour laquelle la région de Diourbel fait partie des régions prioritaires».
Poursuivant, elle souligne : « S’agissant de la malnutrition aiguë, la région de Diourbel se trouve dans une phase de précarité. C’est-à-dire avec un taux supérieur à 10%. La région de Diourbel enregistre quand même des prévalences relativement élevées, parce que supérieures à 10%. Donc, la situation est précaire par rapport à la malnutrition aiguë chez les enfants âgés de 0 à 5 ans. Nous espérons qu’avec les interventions de tous les secteurs, Diourbel enregistrera quand même des prévalences beaucoup plus faibles ».
Il faut souligner que depuis 2017, le Cndn cible chaque année des ménages en situation vulnérable, pour participer à la politique de protection sociale du Sénégal. La responsable du bureau régional du Conseil national de développement de la nutrition a annoncé, également, avoir initié cette année un processus de ciblage de 650 ménages vulnérables de la région de Diourbel, à travers l’octroi de microprojets, pour permettre aux enfants de bénéficier d’une diversification alimentaire.
«Nous pouvons dire qu’en 2022, nous sommes en train de dérouler tout un processus pour cibler 650 ménages vulnérables et leur octroyer d’abord des microprojets pour la diversification alimentaire des enfants de ces ménages, ensuite pour renforcer leur résilience. Cette problématique de la vulnérabilité qui fait que certains ménages n’ont pas une alimentation aussi diversifiée que possible, est un facteur déterminant de la malnutrition», a expliqué Ndèye Rokhaya Seck.
En marge d’un atelier de deux jours consacrés à la revue régionale sur la nutrition, souligne "L'As", elle a déclaré : «Au niveau de la région de Diourbel, par rapport à la malnutrition chronique chez les enfants de 0 à 5 ans, on est à 19%, donc c’est une situation relativement satisfaisante. Si la prévalence de la malnutrition chronique est inférieure à 20%, vraiment, c’est que la situation est satisfaisante. Il y a encore des enfants dans la région de Diourbel qui souffrent de retards de croissance ou bien de malnutrition chronique, raison pour laquelle la région de Diourbel fait partie des régions prioritaires».
Poursuivant, elle souligne : « S’agissant de la malnutrition aiguë, la région de Diourbel se trouve dans une phase de précarité. C’est-à-dire avec un taux supérieur à 10%. La région de Diourbel enregistre quand même des prévalences relativement élevées, parce que supérieures à 10%. Donc, la situation est précaire par rapport à la malnutrition aiguë chez les enfants âgés de 0 à 5 ans. Nous espérons qu’avec les interventions de tous les secteurs, Diourbel enregistrera quand même des prévalences beaucoup plus faibles ».
Il faut souligner que depuis 2017, le Cndn cible chaque année des ménages en situation vulnérable, pour participer à la politique de protection sociale du Sénégal. La responsable du bureau régional du Conseil national de développement de la nutrition a annoncé, également, avoir initié cette année un processus de ciblage de 650 ménages vulnérables de la région de Diourbel, à travers l’octroi de microprojets, pour permettre aux enfants de bénéficier d’une diversification alimentaire.
«Nous pouvons dire qu’en 2022, nous sommes en train de dérouler tout un processus pour cibler 650 ménages vulnérables et leur octroyer d’abord des microprojets pour la diversification alimentaire des enfants de ces ménages, ensuite pour renforcer leur résilience. Cette problématique de la vulnérabilité qui fait que certains ménages n’ont pas une alimentation aussi diversifiée que possible, est un facteur déterminant de la malnutrition», a expliqué Ndèye Rokhaya Seck.