Il y a de cela quelques jours, par correspondance visée en référence, la dame Mame Maty Fall alias ‘’Maty 3 Pommes’’ avait formulé une lettre plainte contre la nommée Thiaba Kh. Niang, pour des faits qu'elle qualifie de "diffamation, diffusion de fausses nouvelles, atteinte à l'honneur et à l'honorabilité d'autrui et injures publiques".
De l'économie des faits, il ressort qu'à la date du 9 octobre 2022, la mise en cause avait dénigré, à travers les réseaux sociaux, la plaignante, en portant de graves accusations à son encontre, dans une séquence vidéo d'une durée de plus de deux minutes. Maty "3 Pommes", dans sa plainte, souligne avoir extrait ladite vidéo dans un compte TikTok, sous le pseudonyme ‘’Thiabish Noble Fille’’, qui est probablement ouvert par la mise en cause.
Dans cette séquence vidéo, la nommée Thiaba Kh. Niang y apparaît clairement, en train d’injurier et de traiter de lesbienne la dame Mame Maty Fall alias ‘’Maty 3 Pommes’’. Elle poursuit qu’elle n'est personne d’autre que la fille de la responsable politique, Fatoumata Ndiaye alias ‘’Fouta Tampi’’.
En sus, Maty a confié que la fille a fait de multiples autres sorties tonitruantes via le système informatique TikTok. La plaignante a ajouté qu’en plus des attaques contre sa génitrice, elle n'hésite pas à s'en prendre à toute personnalité publique qui serait impliquée dans cette affaire.
Pour la suite de cette enquête, l’on nous signale qu’elle a été représentée sur procuration, par une de ses sœurs du nom d’A. Fall. Mais selon nos interlocuteurs, une demande d'extraction a été adressée au procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance hors classe de Dakar, aux fins de conduire et d'entendre la mise en cause en détention à la Maison d'arrêt des femmes sise à Liberté VI.
‘’C'est Maty 3 Pommes qui devait être poursuivie par la justice’’
Lors de son interrogatoire, selon nos informations, la nommée Thiaba Kh. Niang a reconnu sans ambages les faits qui lui sont reprochés dans cette affaire. Devant les hommes du commissaire Adramé Sarr, le patron de la Dic, elle a confirmé avoir diffusé de fausses nouvelles à l'encontre de la plaignante, de nature à la dénigrer à travers un ‘’live’’ qu'elle avait fait quelques mois plus tôt, via son compte TikTok.
Pour se dédouaner, ont précisé nos sources, la mise en cause a soutenu avoir agi de la sorte, juste pour se venger de la journaliste, qui n'a cessé de publier des articles sur sa vie et sur ses différends avec sa mère Fatoumata Ndiaye alias ‘’Fouta Tampi’’.
‘’Je reconnais que je l'ai accusée à tort, en diffusant publiquement de fausses informations à son encontre. Mais j'ai fait cette vidéo contre elle, car j'en avais marre des articles qu'elle publiait à tout bout de champ sur ma vie et sur les problèmes que j'ai eus récemment avec ma mère. Elle est même allée jusqu'à publier de fausses informations sur moi.
D'ailleurs, lors de ma dernière arrestation, elle a fait une sortie sur YouTube, en affirmant que j'ai été arrêtée pour une affaire de drogue, ce qui est archifaux. Je ne savais pas que mon acte pourrait être délictuel. Je voulais juste riposter, car elle m'a causé d'énormes préjudices. Je me disais simplement que c'est elle la fautive dans cette histoire. C'est elle qui devait être poursuivie par la justice. À vrai dire, elle a diffusé plus de quatre vidéos diffamatoires à mon encontre’’, a-t-elle confié.
A la question des enquêteurs de connaître les raisons de son incarcération à la Maison d'arrêt des femmes sise à Liberté VI à la date du 16 janvier 2023, elle a déclaré que c'est relativement à une plainte déposée par sa mère Fatoumata Ndiaye alias ‘’Fouta Tampi’’, pour les mêmes faits. D'ailleurs, l’on nous signale que son procès initialement prévu le jeudi 19 janvier, a été renvoyé au lundi 23 janvier 2023.
‘’J'ai été arrêtée puis déférée au tribunal par la Division spéciale de cybersécurité, suite à une plainte de ma mère Fatoumata Ndiaye, pour une affaire d'injures relativement à une sortie que j'avais faite sur le réseau social TikTok, il y a environ une année. D'ailleurs, j'avais même oublié cette histoire’’, a-t-elle déclaré.
Il y a lieu de signaler, selon nos interlocuteurs, que Thiaba Kh. Niang est bien connue du fichier de la Direction de la police technique et scientifique (DPTS). Les archives judiciaires ont montré qu’elle avait été attraite à la barre en 2017, pour une affaire de vol, mais n'avait pas été condamnée.
Thiaba Kh. Niang, née en 2003 et mère d’une fille, a été déférée au parquet une nouvelle fois, pour les faits de diffamation, diffusion de fausses nouvelles, atteinte à l'honneur et a l'honorabilité d'autrui et injures publiques.
Enquêteplus
De l'économie des faits, il ressort qu'à la date du 9 octobre 2022, la mise en cause avait dénigré, à travers les réseaux sociaux, la plaignante, en portant de graves accusations à son encontre, dans une séquence vidéo d'une durée de plus de deux minutes. Maty "3 Pommes", dans sa plainte, souligne avoir extrait ladite vidéo dans un compte TikTok, sous le pseudonyme ‘’Thiabish Noble Fille’’, qui est probablement ouvert par la mise en cause.
Dans cette séquence vidéo, la nommée Thiaba Kh. Niang y apparaît clairement, en train d’injurier et de traiter de lesbienne la dame Mame Maty Fall alias ‘’Maty 3 Pommes’’. Elle poursuit qu’elle n'est personne d’autre que la fille de la responsable politique, Fatoumata Ndiaye alias ‘’Fouta Tampi’’.
En sus, Maty a confié que la fille a fait de multiples autres sorties tonitruantes via le système informatique TikTok. La plaignante a ajouté qu’en plus des attaques contre sa génitrice, elle n'hésite pas à s'en prendre à toute personnalité publique qui serait impliquée dans cette affaire.
Pour la suite de cette enquête, l’on nous signale qu’elle a été représentée sur procuration, par une de ses sœurs du nom d’A. Fall. Mais selon nos interlocuteurs, une demande d'extraction a été adressée au procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance hors classe de Dakar, aux fins de conduire et d'entendre la mise en cause en détention à la Maison d'arrêt des femmes sise à Liberté VI.
‘’C'est Maty 3 Pommes qui devait être poursuivie par la justice’’
Lors de son interrogatoire, selon nos informations, la nommée Thiaba Kh. Niang a reconnu sans ambages les faits qui lui sont reprochés dans cette affaire. Devant les hommes du commissaire Adramé Sarr, le patron de la Dic, elle a confirmé avoir diffusé de fausses nouvelles à l'encontre de la plaignante, de nature à la dénigrer à travers un ‘’live’’ qu'elle avait fait quelques mois plus tôt, via son compte TikTok.
Pour se dédouaner, ont précisé nos sources, la mise en cause a soutenu avoir agi de la sorte, juste pour se venger de la journaliste, qui n'a cessé de publier des articles sur sa vie et sur ses différends avec sa mère Fatoumata Ndiaye alias ‘’Fouta Tampi’’.
‘’Je reconnais que je l'ai accusée à tort, en diffusant publiquement de fausses informations à son encontre. Mais j'ai fait cette vidéo contre elle, car j'en avais marre des articles qu'elle publiait à tout bout de champ sur ma vie et sur les problèmes que j'ai eus récemment avec ma mère. Elle est même allée jusqu'à publier de fausses informations sur moi.
D'ailleurs, lors de ma dernière arrestation, elle a fait une sortie sur YouTube, en affirmant que j'ai été arrêtée pour une affaire de drogue, ce qui est archifaux. Je ne savais pas que mon acte pourrait être délictuel. Je voulais juste riposter, car elle m'a causé d'énormes préjudices. Je me disais simplement que c'est elle la fautive dans cette histoire. C'est elle qui devait être poursuivie par la justice. À vrai dire, elle a diffusé plus de quatre vidéos diffamatoires à mon encontre’’, a-t-elle confié.
A la question des enquêteurs de connaître les raisons de son incarcération à la Maison d'arrêt des femmes sise à Liberté VI à la date du 16 janvier 2023, elle a déclaré que c'est relativement à une plainte déposée par sa mère Fatoumata Ndiaye alias ‘’Fouta Tampi’’, pour les mêmes faits. D'ailleurs, l’on nous signale que son procès initialement prévu le jeudi 19 janvier, a été renvoyé au lundi 23 janvier 2023.
‘’J'ai été arrêtée puis déférée au tribunal par la Division spéciale de cybersécurité, suite à une plainte de ma mère Fatoumata Ndiaye, pour une affaire d'injures relativement à une sortie que j'avais faite sur le réseau social TikTok, il y a environ une année. D'ailleurs, j'avais même oublié cette histoire’’, a-t-elle déclaré.
Il y a lieu de signaler, selon nos interlocuteurs, que Thiaba Kh. Niang est bien connue du fichier de la Direction de la police technique et scientifique (DPTS). Les archives judiciaires ont montré qu’elle avait été attraite à la barre en 2017, pour une affaire de vol, mais n'avait pas été condamnée.
Thiaba Kh. Niang, née en 2003 et mère d’une fille, a été déférée au parquet une nouvelle fois, pour les faits de diffamation, diffusion de fausses nouvelles, atteinte à l'honneur et a l'honorabilité d'autrui et injures publiques.
Enquêteplus