Le 5e vice-président de l’Assemblée nationale, Abdoulaye Makhtar Diop, par ailleurs grand Serigne de Dakar, est convoqué devant la barre du Tribunal correctionnel le 12 juin prochain.
Il est poursuivi pour diffamation et complicité de diffamation par l’Architecte Pierre Goudiaby Atépa et Atab Bodian, Moussa Cissé, membres du collectif des cadres casamançais. Cette affaire est la conséquence des propos que Abdoulaye Makhtar Diop a tenus le 14 janvier, sur le Massacre de Boffa, en Casamance. Invité de la TFM et de Dtv, le député, aurait accusé selon les plaignants, les membres du collectif des cadres d’être des "plénipotentiaires du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance".
Une citation lui a été servie par voie d’huissier, le 11 mai 2018. Même s’il dit assumer ses propos, le Grand Serigne de Dakar, conteste par contre la forme de saisine.
Abdoulaye Makhtar attend une citation directe en sa qualité de député et Grand Serigne de Dakar et non es qualité d’administrateur civil, visé par les plaignants, renseigne « L’Observateur ».
Les plaignants lui réclament 1,5 milliards de F Cfa, soit 500 millions chacun à titre de dommages et intérêts.
Il est poursuivi pour diffamation et complicité de diffamation par l’Architecte Pierre Goudiaby Atépa et Atab Bodian, Moussa Cissé, membres du collectif des cadres casamançais. Cette affaire est la conséquence des propos que Abdoulaye Makhtar Diop a tenus le 14 janvier, sur le Massacre de Boffa, en Casamance. Invité de la TFM et de Dtv, le député, aurait accusé selon les plaignants, les membres du collectif des cadres d’être des "plénipotentiaires du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance".
Une citation lui a été servie par voie d’huissier, le 11 mai 2018. Même s’il dit assumer ses propos, le Grand Serigne de Dakar, conteste par contre la forme de saisine.
Abdoulaye Makhtar attend une citation directe en sa qualité de député et Grand Serigne de Dakar et non es qualité d’administrateur civil, visé par les plaignants, renseigne « L’Observateur ».
Les plaignants lui réclament 1,5 milliards de F Cfa, soit 500 millions chacun à titre de dommages et intérêts.