A. Sy, elle se nomme. Elle gère une salon de massage très particulier. Car, en réalité, derrière le paravent de salon de massage, cette dame cachait un espace de prostitution. Elle a été arrêtée, ce mardi, par la police de Dieuppeul et déférée au parquet pour les délits de non-inscription au fichier sanitaire, prostitution et proxénétisme, ouverture et exploitation d’un salon privé de massage sans autorisation.
N’eussent été les riverains qui l’ont dénoncé à la police de Dieuppeul, les nombreux va-et-vient d’hommes, et surtout de jeunes qui fréquentent un immeuble situé au niveau de Sacré-Cœur-Vdn, pour y entretenir des relations sexuelles avec des demoiselles, la dame A. Sy aurait certainement continué à entretenir son réseau de prostitution déguisée. Et cela, sans soulever le moindre doute sur ses activités.
Mais, suite à ces renseignements, les hommes du commissaire Marième Diao ont tout de suite exploité l’information en mettant en place, une surveillance soutenue des lieux. C’est après avoir constaté de visu les nombreux va-et-vient qu’ils sont passés à l’acte.
En réalité, la dame A. Sy, qui se dit masseuse de profession, avait loué un appartement au 3e étage de cet immeuble pour s’adonner à la prostitution, sous le couvert d’un salon de massage. Un lieu de débauche très prisé par les hommes. La preuve, sur place, les limiers ont trouvé des préservatifs dont l’un venait d’être utilisé, deux matelas, ainsi qu’une somme de 15 000 francs Cfa.
Interrogée sur son activité, la jeune dame a déclaré avoir ouvert sur les lieux un salon de massage dans lequel elle reçoit ses clients qu’elle masse pour des montants allant de 10 000 à 25 000 francs Cfa. Elle ne s’est pas gênée de déclarer qu’à la demande d’un client fidèle ou généreux, une de ses collègues ou elle-même pouvait entretenir des relations sexuelles avec ce dernier.
Très prolixe, elle a expliqué les différents types de massage particuliers qu’elles offraient, allant du « cajoling », au « doux », en passant par « américain » ou simplement « intégral ». Interpellée sur les faits de conjonctions sexuelles que les clients recevaient dans le soi-disant salon de massage, elle a confirmé qu’avec 25 000 francs Cfa, le client pouvait se faire masser et coucher avec elle.
En réalité, c’est à partir de la toile qu’elle passait ses publicités. Elle a ainsi souligné qu’elle avait démarché et obtenu un registre de commerce et un Ninéa pour l’ouverture de ce salon de massage. La jeune dame, qui dit assumer entièrement son choix de travailler dans cette filière lucrative, a été déférée au parquet mardi pour les délits de non-inscription au fichier sanitaire, prostitution et proxénétisme, ouverture et exploitation d’un salon privé de massage sans autorisation.
N’eussent été les riverains qui l’ont dénoncé à la police de Dieuppeul, les nombreux va-et-vient d’hommes, et surtout de jeunes qui fréquentent un immeuble situé au niveau de Sacré-Cœur-Vdn, pour y entretenir des relations sexuelles avec des demoiselles, la dame A. Sy aurait certainement continué à entretenir son réseau de prostitution déguisée. Et cela, sans soulever le moindre doute sur ses activités.
Mais, suite à ces renseignements, les hommes du commissaire Marième Diao ont tout de suite exploité l’information en mettant en place, une surveillance soutenue des lieux. C’est après avoir constaté de visu les nombreux va-et-vient qu’ils sont passés à l’acte.
En réalité, la dame A. Sy, qui se dit masseuse de profession, avait loué un appartement au 3e étage de cet immeuble pour s’adonner à la prostitution, sous le couvert d’un salon de massage. Un lieu de débauche très prisé par les hommes. La preuve, sur place, les limiers ont trouvé des préservatifs dont l’un venait d’être utilisé, deux matelas, ainsi qu’une somme de 15 000 francs Cfa.
Interrogée sur son activité, la jeune dame a déclaré avoir ouvert sur les lieux un salon de massage dans lequel elle reçoit ses clients qu’elle masse pour des montants allant de 10 000 à 25 000 francs Cfa. Elle ne s’est pas gênée de déclarer qu’à la demande d’un client fidèle ou généreux, une de ses collègues ou elle-même pouvait entretenir des relations sexuelles avec ce dernier.
Très prolixe, elle a expliqué les différents types de massage particuliers qu’elles offraient, allant du « cajoling », au « doux », en passant par « américain » ou simplement « intégral ». Interpellée sur les faits de conjonctions sexuelles que les clients recevaient dans le soi-disant salon de massage, elle a confirmé qu’avec 25 000 francs Cfa, le client pouvait se faire masser et coucher avec elle.
En réalité, c’est à partir de la toile qu’elle passait ses publicités. Elle a ainsi souligné qu’elle avait démarché et obtenu un registre de commerce et un Ninéa pour l’ouverture de ce salon de massage. La jeune dame, qui dit assumer entièrement son choix de travailler dans cette filière lucrative, a été déférée au parquet mardi pour les délits de non-inscription au fichier sanitaire, prostitution et proxénétisme, ouverture et exploitation d’un salon privé de massage sans autorisation.