Organisée par le Centre d'excellence numérique de la Commission économique pour l'Afrique (Cea), la réunion vise à fournir une plate-forme pour proposer et examiner les contributions de l'Afrique au Pacte numérique mondial en réunissant des représentants d'institutions gouvernementales, de décideurs politiques, d'entités du secteur privé et d'organisations de la société civile.
Via un communiqué de la Cea, les Nations Unies disent reconnaître l'immense potentiel des technologies numériques dans la transformation des sociétés dans le monde entier tout en reconnaissant la nécessité d'une coopération internationale pour exploiter efficacement leurs avantages et atténuer leurs risques.
Le communiqué rappelle qu’en commémoration du 75e anniversaire des Nations Unies, une déclaration a été adoptée, soulignant l'importance de la coopération numérique et l'exigence urgente de forger une vision commune pour un avenir numérique sûr et avantageux.
A l’en croire, la proposition du Secrétaire général des Nations Unies d'établir le Pacte numérique mondial décrit les principes de la promotion d'un environnement numérique ouvert, libre et sécurisé. Pour diriger le processus intergouvernemental sur ce pacte, le Rwanda et la Suède ont été nommés co-facilitateurs.
Dans le cadre du processus consultatif, l'ONU sollicite la contribution d'individus, d'organisations et d'entités du monde entier, dans le but de rassembler diverses perspectives et de façonner un accord global.
Cette réunion de révision est l'occasion pour l'Afrique de participer activement à l'élaboration d'un avenir numérique plus inclusif et plus équitable. En collaborant avec diverses parties prenantes et en intégrant des perspectives africaines, le continent devrait contribuer de manière significative au développement du Pacte numérique mondial des Nations Unies.
Le Pacte numérique mondial vise à aborder des questions critiques, notamment la connexion des personnes non connectées, la prévention de la fragmentation d'Internet, la protection des droits à la vie privée, la garantie des droits de l'homme en ligne, la lutte contre la discrimination et le contenu trompeur, et la réglementation de l'intelligence artificielle. Son objectif principal est de co-créer un avenir numérique ouvert, libre et sécurisé pour tous.
La réunion d'examen régional de l'Afrique a pour but d'orienter la contribution de l'Afrique vers un certain nombre de priorités notamment assurer un accès universel à Internet, protéger la vie privée des gens et la cybersécurité, protéger les droits de l'homme en ligne et éliminer la violence cybernétique.
Il s’agit également de favoriser les compétences numériques, y compris les compétences numériques de base, intermédiaires et avancées et enfin promouvoir l'inclusion numérique et s'attaquer à la fracture numérique, en particulier le fossé entre les sexes et les zones rurales et urbaines.
Bassirou MBAYE
Via un communiqué de la Cea, les Nations Unies disent reconnaître l'immense potentiel des technologies numériques dans la transformation des sociétés dans le monde entier tout en reconnaissant la nécessité d'une coopération internationale pour exploiter efficacement leurs avantages et atténuer leurs risques.
Le communiqué rappelle qu’en commémoration du 75e anniversaire des Nations Unies, une déclaration a été adoptée, soulignant l'importance de la coopération numérique et l'exigence urgente de forger une vision commune pour un avenir numérique sûr et avantageux.
A l’en croire, la proposition du Secrétaire général des Nations Unies d'établir le Pacte numérique mondial décrit les principes de la promotion d'un environnement numérique ouvert, libre et sécurisé. Pour diriger le processus intergouvernemental sur ce pacte, le Rwanda et la Suède ont été nommés co-facilitateurs.
Dans le cadre du processus consultatif, l'ONU sollicite la contribution d'individus, d'organisations et d'entités du monde entier, dans le but de rassembler diverses perspectives et de façonner un accord global.
Cette réunion de révision est l'occasion pour l'Afrique de participer activement à l'élaboration d'un avenir numérique plus inclusif et plus équitable. En collaborant avec diverses parties prenantes et en intégrant des perspectives africaines, le continent devrait contribuer de manière significative au développement du Pacte numérique mondial des Nations Unies.
Le Pacte numérique mondial vise à aborder des questions critiques, notamment la connexion des personnes non connectées, la prévention de la fragmentation d'Internet, la protection des droits à la vie privée, la garantie des droits de l'homme en ligne, la lutte contre la discrimination et le contenu trompeur, et la réglementation de l'intelligence artificielle. Son objectif principal est de co-créer un avenir numérique ouvert, libre et sécurisé pour tous.
La réunion d'examen régional de l'Afrique a pour but d'orienter la contribution de l'Afrique vers un certain nombre de priorités notamment assurer un accès universel à Internet, protéger la vie privée des gens et la cybersécurité, protéger les droits de l'homme en ligne et éliminer la violence cybernétique.
Il s’agit également de favoriser les compétences numériques, y compris les compétences numériques de base, intermédiaires et avancées et enfin promouvoir l'inclusion numérique et s'attaquer à la fracture numérique, en particulier le fossé entre les sexes et les zones rurales et urbaines.
Bassirou MBAYE
Source : https://www.lejecos.com/Developpement-numerique-mo...