Ces réunions, qui regroupent les représentants des pools énergétiques régionaux africains de la Banque africaine de développement (BAD), des sociétés africaines d’électricité, membres actifs de l’Association, et des sociétés membres affiliés seront une occasion pour ces derniers de voir « comment accélérer la mise en place d’un marché continental de l’électricité compétitif grâce à une harmonisation des normes d’exploitation et de transport d’énergie accompagnant le développement des marchés régionaux », a expliqué Abel Didier Tella, Directeur général de de l’Association des sociétés d’électricité d’Afrique (Asea).
Abdoulaye Dia, secrétaire général de la Senelec et représentant du Directeur général de la structure, a magnifié le rôle que joue l’Asea, depuis sa création, dans « la réflexion sur le secteur de l’énergie, mais aussi dans l’impulsion et la concertation des power pools » et la création des pools énergétiques comme le wap auquel appartient la Senelec. « C'est une décision hautement stratégique car, ces pools constituent des gages de structuration de financement et de mise en œuvre des projets régionaux, en plus de consolider la stabilité de nos systèmes électriques et nous offrir un marché de l’énergie », a indiqué M. Dia.
Dans le même sillage, le ministre en charge de l’Energie et du Développement des énergies renouvelables dira : « Le potentiel énergétique très appréciable, en charbon, en biomasse, en solaire, en éolien et en géothermie, mérite d’être développé pour le grand bénéfice de nos populations, de nos petites et moyennes entreprises, des industries à forte utilisation de main d’œuvre, qui créent l’emploi et la croissance » mais, il dit être conscient que « la taille de nos marchés nationaux est trop petite pour développer et absorber ces potentialités et attirer les investisseurs. D’où la nécessité de favoriser la coopération entre pays et entre sous-régions ». Thierno Alassane Sall de souligner : « La coopération est la seule voie de salut pour les pays africains, si nous voulons atteindre des tailles critiques de marchés de l’électricité, capables d’attirer le privé dans le financement, la réalisation et la gestion des infrastructures ».
Abdoulaye Dia, secrétaire général de la Senelec et représentant du Directeur général de la structure, a magnifié le rôle que joue l’Asea, depuis sa création, dans « la réflexion sur le secteur de l’énergie, mais aussi dans l’impulsion et la concertation des power pools » et la création des pools énergétiques comme le wap auquel appartient la Senelec. « C'est une décision hautement stratégique car, ces pools constituent des gages de structuration de financement et de mise en œuvre des projets régionaux, en plus de consolider la stabilité de nos systèmes électriques et nous offrir un marché de l’énergie », a indiqué M. Dia.
Dans le même sillage, le ministre en charge de l’Energie et du Développement des énergies renouvelables dira : « Le potentiel énergétique très appréciable, en charbon, en biomasse, en solaire, en éolien et en géothermie, mérite d’être développé pour le grand bénéfice de nos populations, de nos petites et moyennes entreprises, des industries à forte utilisation de main d’œuvre, qui créent l’emploi et la croissance » mais, il dit être conscient que « la taille de nos marchés nationaux est trop petite pour développer et absorber ces potentialités et attirer les investisseurs. D’où la nécessité de favoriser la coopération entre pays et entre sous-régions ». Thierno Alassane Sall de souligner : « La coopération est la seule voie de salut pour les pays africains, si nous voulons atteindre des tailles critiques de marchés de l’électricité, capables d’attirer le privé dans le financement, la réalisation et la gestion des infrastructures ».