Devant les enquêteurs, la dame qui était une administratrice des greffes à la retraite, a expliqué que le jour des faits, elle s’était rendue à l’agence de la Sonatel en compagnie de sa fille qui voulait ouvrir un compte Orange money.
Mais une fois devant l’agence, sise à l’avenue Cheikh Anta Diop, poursuit-elle, sa fille a été interceptée par un individu qui lui a proposé de lui ouvrir le compte en question. La jeune fille qui était très prévenante et qui savait que les escrocs et autres démarcheurs ont infesté ce genre d’endroits, n’a pas hésité à rejeter sa proposition, au motif qu’il n’est pas un agent de la Sonatel.
Une remarque qui a apparemment frustré ce dernier, qui est sorti de ses gonds. Et alors qu’elle s’y attendait le moins, la jeune fille qui avait dépassé le mis en cause, a été surprise de remarquer que ce dernier avait commencé à l’abreuver d’injures. Une affaire qui a atterri à la police
Ayant fait la sourde oreille, même si elle été choquée par le comportement du sieur I. Fall, la jeune fille a continué son chemin pour entrer dans l’agence. Mais à un moment donné, elle a été obligée de revenir dehors pour aller récupérer son masque dans le véhicule de sa mère. Suffisant pour que l’individu, revienne à la charge, pour l’abreuver encore d’injures.
Et lorsque sa mère est sortie de l’agence pour venir aux nouvelles, elle n’a pas été épargnée par ce dernier, qui est d’ailleurs devenu plus virulent. En effet, c’est lorsque la dame à la retraite lui a dit d’arrêter d’injurier sa fille, que le jeune homme s’est retourné vers elle.
Se sentant humiliée et de surcroît devant sa propre fille, la sexagénaire n’a pas hésité à se rendre directement à la police pour déposer une plainte. En réalité, ce qui a le plus irrité la dame, c’est que, lorsqu’elle a demandé à ce dernier d’arrêter les insultes car elle travaillait dans la justice, le mis en cause lui a rétorqué d’aller se plaindre là où elle veut, parce que n’ayant pas peur de la police.
Mais devant les limiers, il a changé de fusil d’épaule, en évoquant l’excuse de provocation. Selon lui, il n’a fait que répondre aux insultes de la dame. Des dénégations qui ne l’ont pas pour autant tiré d’affaire.
Bes Bi
Mais une fois devant l’agence, sise à l’avenue Cheikh Anta Diop, poursuit-elle, sa fille a été interceptée par un individu qui lui a proposé de lui ouvrir le compte en question. La jeune fille qui était très prévenante et qui savait que les escrocs et autres démarcheurs ont infesté ce genre d’endroits, n’a pas hésité à rejeter sa proposition, au motif qu’il n’est pas un agent de la Sonatel.
Une remarque qui a apparemment frustré ce dernier, qui est sorti de ses gonds. Et alors qu’elle s’y attendait le moins, la jeune fille qui avait dépassé le mis en cause, a été surprise de remarquer que ce dernier avait commencé à l’abreuver d’injures. Une affaire qui a atterri à la police
Ayant fait la sourde oreille, même si elle été choquée par le comportement du sieur I. Fall, la jeune fille a continué son chemin pour entrer dans l’agence. Mais à un moment donné, elle a été obligée de revenir dehors pour aller récupérer son masque dans le véhicule de sa mère. Suffisant pour que l’individu, revienne à la charge, pour l’abreuver encore d’injures.
Et lorsque sa mère est sortie de l’agence pour venir aux nouvelles, elle n’a pas été épargnée par ce dernier, qui est d’ailleurs devenu plus virulent. En effet, c’est lorsque la dame à la retraite lui a dit d’arrêter d’injurier sa fille, que le jeune homme s’est retourné vers elle.
Se sentant humiliée et de surcroît devant sa propre fille, la sexagénaire n’a pas hésité à se rendre directement à la police pour déposer une plainte. En réalité, ce qui a le plus irrité la dame, c’est que, lorsqu’elle a demandé à ce dernier d’arrêter les insultes car elle travaillait dans la justice, le mis en cause lui a rétorqué d’aller se plaindre là où elle veut, parce que n’ayant pas peur de la police.
Mais devant les limiers, il a changé de fusil d’épaule, en évoquant l’excuse de provocation. Selon lui, il n’a fait que répondre aux insultes de la dame. Des dénégations qui ne l’ont pas pour autant tiré d’affaire.
Bes Bi