Le prêcheur Oumar Sall a, de nouveau, fait face à la justice ce vendredi 8 décembre 2023. A la barre, le mis en cause dit qu’il ne s’adressait pas aux Tidianes, non sans présenter ses « plates excuses ». Il reconnaît avoir commis « une erreur » en tenant des propos sur le « wazifa » qui, d’après lui, font penser qu’il parlait aux Tidianes, renseigne "leSoleil.sn".
Il admet, également, que ses propos sur Cheikh Ahmed Tidiane Cherif ont fait mal même si, dit-il, « il n’y a pas de mal à dire qu’une personne était chrétienne ». Selon lui, ses propos datent de 1997 et il s’adressait à ses disciples « Yalla-Yalla ».
« Je m’excuse, si c’était à refaire je ne l’aurais pas fait. Depuis 25 ans, je fais des prêches. C’est une tâche indélébile dans ma vie », a lancé Oumar Sall à la barre.
D'aprés toujours leSoleil.sn, la présidente lui a dit qu’on peut enseigner sans causer un tort. Car la liberté de culte est sacrée.
Dans son réquisitoire, le procureur de la République a demandé trois mois, dont un ferme contre Oumar Sall.
Arrêté et placé en garde-à-vue par la Division spéciale de cybersécurité de la Police nationale, il a été placé sous mandat de dépôt, pour avoir dénigré des pratiques cultuelles de la confrérie Tidiane.
Le prêcheur a été arrêté depuis le 15 novembre, suite à des plaintes déposées par plusieurs personnes et associations affiliées à la Tarikha Tidiane.
Il admet, également, que ses propos sur Cheikh Ahmed Tidiane Cherif ont fait mal même si, dit-il, « il n’y a pas de mal à dire qu’une personne était chrétienne ». Selon lui, ses propos datent de 1997 et il s’adressait à ses disciples « Yalla-Yalla ».
« Je m’excuse, si c’était à refaire je ne l’aurais pas fait. Depuis 25 ans, je fais des prêches. C’est une tâche indélébile dans ma vie », a lancé Oumar Sall à la barre.
D'aprés toujours leSoleil.sn, la présidente lui a dit qu’on peut enseigner sans causer un tort. Car la liberté de culte est sacrée.
Dans son réquisitoire, le procureur de la République a demandé trois mois, dont un ferme contre Oumar Sall.
Arrêté et placé en garde-à-vue par la Division spéciale de cybersécurité de la Police nationale, il a été placé sous mandat de dépôt, pour avoir dénigré des pratiques cultuelles de la confrérie Tidiane.
Le prêcheur a été arrêté depuis le 15 novembre, suite à des plaintes déposées par plusieurs personnes et associations affiliées à la Tarikha Tidiane.
Ndèye Fatou Kébé