Aujourd'hui, la joie est collective au sein des populations de Wendou Bosseabe. Notamment au périmètre des hommes où l’ensemble des foyers du village sont servis. Séduit par les résultats déjà affichés, Alassane Sow, un sexagénaire lâche : ”nous rendons grâce à Dieu et réitérons nos remerciements à Harouna Dia. Cet homme nous a montré la bonne voie”.
Poursuivant, il explique : “nous n’avons jamais pensé produire du maïs, à cette période de l’année . Mais aujourd’hui c’est une réalité . Malgré la baisse pluviométrique qui a compromis les cultures pluviales, nous sommes à l’abri de toute insécurité alimentaire. D’autant qu’on est là à notre deuxième campagne. Nous avons du mais et le bétail dispose également suffisamment d’aliments . C’est véritablement la joie ici , à Bosseabe”.
Du maïs à gogo et du bétail qui dispose suffisamment d’aliments
Le chef de village d’en rajouter cette couche : “nous produisons en continu. Nous faisons deux campagnes en mais pour assurer la couverture céréalière des familles et ensuite nous nous tournons vers le maraîchage . Les différentes productions de gombo génèrent d’importants revenus financiers. C’est dire qu’à travers cette réalisation de notre fils Harouna Dia, le village est au dessus de la mêlée”.
Pour ceux qui ne s’en souviennent pas, c’est en 2010 que le milliardaire Harouna Dia, désireux de doter à ses compatriotes d’un périmètre pour la production céréalière, a financé la réalisation d’un second forage sur les bords du bras du fleuve le Dioulol. Résultat, en plus des rendements agricoles qui satisfont plus d’un habitant de Wendou Bosseabe, s’ajoute le fait que des terres, qui avaient été abandonnées du fait du tarissement du Dioulol, depuis la mise en œuvre des barrages de Diama et de Manantaly, renouent avec la vie.
Harouna Dia prend en charge les coûts de tous les facteurs de production, durant les deux premières campagnes avant de céder la place aàun comité de gestion
Harouna Dia, ingénieur hydraulicien de formation, théorise et ordonne le couplage des deux forages pour non seulement assurer l’alimentation de son village mais surtout la disponibilité de l’eau en permanence pour irriguer les projets agricoles gracieusement mis a la disposition des hommes et des femmes de Wendou Bosseabe.
Cerise sur le gâteau : ”Harouna Dia prend entièrement en charge les coûts de tous les facteurs de productions durant les deux premières campagnes avant de céder la place à un comité de gestion crée lors d’une assemblée générale”, confie un proche collaborateur du milliardaire. Qui renchérit : “connectés au réseau électrique de la Senelec, les deux périmètres dotés d’un système d’irrigation par asperseur, disposent également d’une source d’alimentation autonome”.
Outre les agriculteurs, d’autres acteurs du Secteur informel tirent leur épingle du jeu. En effet, venus d’horizons divers, des talibés sont en train de monnayer leur talent A l’entrée du périmètre, des charretiers réglementent les va-et-vient. A tour de rôle , ils se chargent d’acheminer les sacs de mais et la paille vers le village en raison de 500francs CFA la course.
Avec les rendements générés, la sécurité alimentaire est partie pour être assurée dans cette localité de Wendou Bosseabe. D’autant que, si l’on se fie aux chiffres déjà disponibles, 5 à 6 tonnes à l’hectare seront récoltées.
Actusen.com
Poursuivant, il explique : “nous n’avons jamais pensé produire du maïs, à cette période de l’année . Mais aujourd’hui c’est une réalité . Malgré la baisse pluviométrique qui a compromis les cultures pluviales, nous sommes à l’abri de toute insécurité alimentaire. D’autant qu’on est là à notre deuxième campagne. Nous avons du mais et le bétail dispose également suffisamment d’aliments . C’est véritablement la joie ici , à Bosseabe”.
Du maïs à gogo et du bétail qui dispose suffisamment d’aliments
Le chef de village d’en rajouter cette couche : “nous produisons en continu. Nous faisons deux campagnes en mais pour assurer la couverture céréalière des familles et ensuite nous nous tournons vers le maraîchage . Les différentes productions de gombo génèrent d’importants revenus financiers. C’est dire qu’à travers cette réalisation de notre fils Harouna Dia, le village est au dessus de la mêlée”.
Pour ceux qui ne s’en souviennent pas, c’est en 2010 que le milliardaire Harouna Dia, désireux de doter à ses compatriotes d’un périmètre pour la production céréalière, a financé la réalisation d’un second forage sur les bords du bras du fleuve le Dioulol. Résultat, en plus des rendements agricoles qui satisfont plus d’un habitant de Wendou Bosseabe, s’ajoute le fait que des terres, qui avaient été abandonnées du fait du tarissement du Dioulol, depuis la mise en œuvre des barrages de Diama et de Manantaly, renouent avec la vie.
Harouna Dia prend en charge les coûts de tous les facteurs de production, durant les deux premières campagnes avant de céder la place aàun comité de gestion
Harouna Dia, ingénieur hydraulicien de formation, théorise et ordonne le couplage des deux forages pour non seulement assurer l’alimentation de son village mais surtout la disponibilité de l’eau en permanence pour irriguer les projets agricoles gracieusement mis a la disposition des hommes et des femmes de Wendou Bosseabe.
Cerise sur le gâteau : ”Harouna Dia prend entièrement en charge les coûts de tous les facteurs de productions durant les deux premières campagnes avant de céder la place à un comité de gestion crée lors d’une assemblée générale”, confie un proche collaborateur du milliardaire. Qui renchérit : “connectés au réseau électrique de la Senelec, les deux périmètres dotés d’un système d’irrigation par asperseur, disposent également d’une source d’alimentation autonome”.
Outre les agriculteurs, d’autres acteurs du Secteur informel tirent leur épingle du jeu. En effet, venus d’horizons divers, des talibés sont en train de monnayer leur talent A l’entrée du périmètre, des charretiers réglementent les va-et-vient. A tour de rôle , ils se chargent d’acheminer les sacs de mais et la paille vers le village en raison de 500francs CFA la course.
Avec les rendements générés, la sécurité alimentaire est partie pour être assurée dans cette localité de Wendou Bosseabe. D’autant que, si l’on se fie aux chiffres déjà disponibles, 5 à 6 tonnes à l’hectare seront récoltées.
Actusen.com