Mouchikpou est de ces Camerounais qui ont choisi de monnayer leurs talents au Sénégal. Né le 9 avril 1982, il s’activait dans l’artisanat. Comme lui, son compatriote, moniteur de sport, Mouhamed Moustapha Nsnagou Noumbagna, né en 1989, à Douala, vivait au Sénégal.
De l’économie des faits délictuels qui leur ont ouvert les portes de la prison centrale de Rebeuss, il ressort qu’Adamou avait été hébergé par Mouhalmed M. N. à la Cité Avion (Ouakam). Seulement, l’artisanat ne nourrissant plus son homme, Adamou Mouchikpou a fait parler son imagination fertile et peaufiné un plan pouvant lui rapporter un pactole considérable.
Son deal s’articule comme suit : proposer à des passionnés d’œuvres d’art nantis, le bradage d’un patrimoine culturel (statuettes) d’une province camerounaise à la valeur historique incommensurable. Pour donner corps à ce deal, Adamou décide d’opérer en intelligence avec M. Noumbagna. Ainsi, ils ont convenu d’impliquer à leur cause, deux autres complices qu’ils présenteront comme étant des citoyens américains : Walter Williams Jenkins et Steven Bradon.
A ce jeu, Adamou prend en compte les moindres détails. Deux faux documents d’indentification américaine sont fournis à Jenkins et Bradon. Mieux, pour transférer les montants escroqués avec la vente desdites œuvres d’art, Adamou a mis en avant son acolyte M. Noumbagna, détenteur d’une fausse carte d’identité nationale sénégalaise au nom de Moustapha Diao, né le 1er février 1987, à Bogal.
De l’économie des faits délictuels qui leur ont ouvert les portes de la prison centrale de Rebeuss, il ressort qu’Adamou avait été hébergé par Mouhalmed M. N. à la Cité Avion (Ouakam). Seulement, l’artisanat ne nourrissant plus son homme, Adamou Mouchikpou a fait parler son imagination fertile et peaufiné un plan pouvant lui rapporter un pactole considérable.
Son deal s’articule comme suit : proposer à des passionnés d’œuvres d’art nantis, le bradage d’un patrimoine culturel (statuettes) d’une province camerounaise à la valeur historique incommensurable. Pour donner corps à ce deal, Adamou décide d’opérer en intelligence avec M. Noumbagna. Ainsi, ils ont convenu d’impliquer à leur cause, deux autres complices qu’ils présenteront comme étant des citoyens américains : Walter Williams Jenkins et Steven Bradon.
A ce jeu, Adamou prend en compte les moindres détails. Deux faux documents d’indentification américaine sont fournis à Jenkins et Bradon. Mieux, pour transférer les montants escroqués avec la vente desdites œuvres d’art, Adamou a mis en avant son acolyte M. Noumbagna, détenteur d’une fausse carte d’identité nationale sénégalaise au nom de Moustapha Diao, né le 1er février 1987, à Bogal.