Dans un communiqué rendu public, le Cudopes rappelle que ce montant provient du non-respect des engagements antérieurement pris par le gouvernement au titre des arriérés de paiement des étudiants envoyés par l'Etat dans les écoles privés d'enseignement supérieur, au titre des années 2017-2018 et 2018-2019.
Une situation qui «risque de créer une situation qui pourrait compromettre la poursuite de l’année universitaire», note le communiqué. Le document relève, en effet, que « nulle part dans la Lfr 2019, il n’existe une inscription concernant la dette des Epes, malgré les assurances données par le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (Mesri) lors d’une rencontre avec des responsables des Epes le 24 mai 2019».
Ce, d’autant plus que le «le ministre de l’Economie et des Finances sortant, Amadou Bâ, avait pris l’engagement d’inscrire les 4 000 000 000 FCfa dans la Lfr 2019. Ces engagements avaient été réitérés par le nouveau Mesri, Cheikh Omar Hanne, qui avait fait valoir le respect absolu des engagements pris antérieurement en vertu du principe de la continuité de l’action du gouvernement».
Le bureau du Cudopes soutient qu’il «se retrouvera prochainement pour évaluer l'état de ses démarches et organiser les modalités de la gestion des arriérés dus aux écoles privées d'enseignement supérieur».
Une situation qui «risque de créer une situation qui pourrait compromettre la poursuite de l’année universitaire», note le communiqué. Le document relève, en effet, que « nulle part dans la Lfr 2019, il n’existe une inscription concernant la dette des Epes, malgré les assurances données par le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (Mesri) lors d’une rencontre avec des responsables des Epes le 24 mai 2019».
Ce, d’autant plus que le «le ministre de l’Economie et des Finances sortant, Amadou Bâ, avait pris l’engagement d’inscrire les 4 000 000 000 FCfa dans la Lfr 2019. Ces engagements avaient été réitérés par le nouveau Mesri, Cheikh Omar Hanne, qui avait fait valoir le respect absolu des engagements pris antérieurement en vertu du principe de la continuité de l’action du gouvernement».
Le bureau du Cudopes soutient qu’il «se retrouvera prochainement pour évaluer l'état de ses démarches et organiser les modalités de la gestion des arriérés dus aux écoles privées d'enseignement supérieur».