Loin de se douter qu'il avait affaire avec des limiers, le résident du quartier de Dieuppeul, M. M. Kébé se présente au lieu du rendez-vous. Sur place, les agents brandissent leurs cartes professionnelles avant de procéder à son arrestation. Et, une quantité de 25 g de la drogue aurait été trouvée par devers lui.
Attrait ce mercredi devant le tribunal des flagrants délits de Dakar pour des faits d'offre et de cession de chanvre indien, M. M. Kébé, né en 1996, conteste vigoureusement cette accusation. Teint noir, taille moyenne, il soutient qu'il est un usager de chanvre indien et les enquêteurs n'ont trouvé par devers lui, qu'une ficelle.
« Je ne suis pas un trafiquant de drogue. La preuve, lorsque les enquêteurs se sont rendus chez moi, suite à mon arrestation, ils n'ont rien trouvé là-bas. Je compte réussir dans mes études et venir en aide dignement mes parents. J'ai juste commis une erreur de jeunesse en tombant dans la consommation du chanvre indien. Une fois sorti de prison, je compte l'abandonner », a-t-il promis au juge.
Mais de l'avis du représentant du Ministère public, la culpabilité du prévenu ne souffre d'aucune contestation. A l'en croire, la quantité de la drogue trouvée avec lui coûte 45 mille de francs. Ce sont ses deux dénonciateurs, indique-t-il, qui avaient des ficelles.
Ainsi, il a requis deux ans d’emprisonnement ferme contre lui.
Un réquisitoire qui a fait sortir de ses gonds la défense qui a sollicité une disqualification des faits en détention de chanvre indien, en vue de l'usage. « Je ne comprend pas la sévérité du Ministère public. Le droit, c'est aussi de l'humanisme, de l'émotion. On a tous commis des erreurs de jeunesse. Je sollicite Madame le juge votre clémence. La mère du prévenu souffre d'un problème de cœur. Jusqu'à présent, on lui cache que son fils est en détention. Si vous suivez le parquet, vous risquez de créer un autre problème. Et, le prévenu a tout l'avenir devant lui pour se ressaisir" souligne la robe noire.
Une plaidoirie que le juge a suivie, en condamnant le prévenu à deux mois de prison ferme pour détention de chanvre indien en vue de l'usage.
Attrait ce mercredi devant le tribunal des flagrants délits de Dakar pour des faits d'offre et de cession de chanvre indien, M. M. Kébé, né en 1996, conteste vigoureusement cette accusation. Teint noir, taille moyenne, il soutient qu'il est un usager de chanvre indien et les enquêteurs n'ont trouvé par devers lui, qu'une ficelle.
« Je ne suis pas un trafiquant de drogue. La preuve, lorsque les enquêteurs se sont rendus chez moi, suite à mon arrestation, ils n'ont rien trouvé là-bas. Je compte réussir dans mes études et venir en aide dignement mes parents. J'ai juste commis une erreur de jeunesse en tombant dans la consommation du chanvre indien. Une fois sorti de prison, je compte l'abandonner », a-t-il promis au juge.
Mais de l'avis du représentant du Ministère public, la culpabilité du prévenu ne souffre d'aucune contestation. A l'en croire, la quantité de la drogue trouvée avec lui coûte 45 mille de francs. Ce sont ses deux dénonciateurs, indique-t-il, qui avaient des ficelles.
Ainsi, il a requis deux ans d’emprisonnement ferme contre lui.
Un réquisitoire qui a fait sortir de ses gonds la défense qui a sollicité une disqualification des faits en détention de chanvre indien, en vue de l'usage. « Je ne comprend pas la sévérité du Ministère public. Le droit, c'est aussi de l'humanisme, de l'émotion. On a tous commis des erreurs de jeunesse. Je sollicite Madame le juge votre clémence. La mère du prévenu souffre d'un problème de cœur. Jusqu'à présent, on lui cache que son fils est en détention. Si vous suivez le parquet, vous risquez de créer un autre problème. Et, le prévenu a tout l'avenir devant lui pour se ressaisir" souligne la robe noire.
Une plaidoirie que le juge a suivie, en condamnant le prévenu à deux mois de prison ferme pour détention de chanvre indien en vue de l'usage.