Le combat pour la libération de Pape Alé s’internationalise davantage. Après Reporters sans frontières, c’est au tour de la Fondation internationale pour la protection des défenseurs des droits humains Front Line Defenders d’exiger la libération du journaliste. «Front Line Defenders exhorte les autorités sénégalaises à libérer immédiatement et sans condition Pape Alé Niang et à abandonner toutes les charges retenues contre lui», tonnent les responsables de la Fondation dans un communiqué parvenu à la rédaction. Convaincus que l’administrateur de «Dakarmatin» est un défenseur des droits humains, ils estiment qu’il est détenu et inculpé uniquement en raison de son travail pacifique et légitime en faveur des droits humains. Front Line Defenders qui se dit sérieusement préoccupée par la détérioration de l'espace civique au Sénégal, en particulier la liberté de la presse, condamne fermement la détention de Pape Alé Niang et les accusations portées contre lui. Ainsi, l’organisation pour la défense des droits de l’Homme exhorte les autorités sénégalaises à le libérer immédiatement.
D'aprés L'As, elle invite également l’Etat à garantir l'intégrité psychologique et physique de notre confrère pendant sa détention, et à garantir en toutes circonstances que tous les journalistes et défenseurs des droits humains au Sénégal puissent mener à bien leurs activités légitimes de défense des droits humains sans crainte, ni représailles, et libres de toutes restrictions, y compris les arrestations arbitraires et le harcèlement judiciaire. Pour rappel, Pape Alé Niang a été arrêté le 6 novembre dernier à la suite d'un article sur les poursuites judiciaires contre Ousmane Sonko. Trois jours plus tard, il a été inculpé pour divulgation d'informations susceptibles de nuire à la Défense nationale, recel de documents administratifs et militaires et diffusion de fausses nouvelles susceptibles de discréditer les institutions publiques. Depuis vendredi dernier, il a entamé une grève de la faim pour dénoncer son arrestation et sa détention qu’il juge arbitraires.
D'aprés L'As, elle invite également l’Etat à garantir l'intégrité psychologique et physique de notre confrère pendant sa détention, et à garantir en toutes circonstances que tous les journalistes et défenseurs des droits humains au Sénégal puissent mener à bien leurs activités légitimes de défense des droits humains sans crainte, ni représailles, et libres de toutes restrictions, y compris les arrestations arbitraires et le harcèlement judiciaire. Pour rappel, Pape Alé Niang a été arrêté le 6 novembre dernier à la suite d'un article sur les poursuites judiciaires contre Ousmane Sonko. Trois jours plus tard, il a été inculpé pour divulgation d'informations susceptibles de nuire à la Défense nationale, recel de documents administratifs et militaires et diffusion de fausses nouvelles susceptibles de discréditer les institutions publiques. Depuis vendredi dernier, il a entamé une grève de la faim pour dénoncer son arrestation et sa détention qu’il juge arbitraires.