Poursuivis pour incitation à la débauche et proxénétisme, les nommés Ndéné Diop et Alioune ont été arrêtés. Alioune, l’ex copain de la plaignante, a contraint celle-ci d’avoir un rapport sexuel avec son ami, pour régler ses petits problèmes. Alioune filme les ébats. Ayant cette vidéo entre les mains, les deux amis incitent la jeune fille à se prostituer, en lui réclamant une partie de l’argent.
Femme de ménage, Ndeye Fatou Diouf a été amenée par son ex- copain au domicile de Ndéné Diop à l’unité 06 des PA, pour entretenir un rapport sexuel avec ce dernier. Au cours de leurs moments intimes, Alioune a filmé leurs ébats à l’insu de la fille. Quelques jours après, le sieur Diop la joint au téléphone et lui propose de l’aider à trouver un travail beaucoup plus décent que celui de femme de ménage. Ndèye Fatou Diouf le retrouve à son domicile. « Dès que je suis arrivée chez lui, il m’a demandé d’aller prendre un bain et de m’allonger pour me reposer. Le lendemain matin, je lui ai demandé sur quoi portait le travail qu’il allait me proposer. Il m’a clairement déclaré que c’est de la prostitution », a raconté la victime aux policiers.
Face à son refus, le sieur Diop lui dit qu’elle se prostituera de force, avant d’appeler l’ex de la femme de ménage qui s’est présenté sur les lieux, en lui montrant la vidéo de ses ébats avec le sieur Diop, la menaçant de la publier sur les réseaux sociaux si toutefois elle refusait de se prostituer. « N’ayant pas le choix, j’ai accepté et Ndéné Diop m’a donné une chambre dans son appartement. Il a commencé à m’amener des clients qui payaient entre 5000 et 15 000 FCfa. Parfois, j’encaissais 60 000 FCfa si le client décide de passer la nuit. Après chaque acte, ils prenaient leur part sur l’argent. Je faisais la prostitution malgré moi et à chaque fois que j’entretenais des rapports sexuels avec des inconnus, je ressentais du dégoût », raconte-t-elle.
Sur sa décision de se libérer, elle se confie : « Dimanche dernier, aux environs de 9 heures, je suis allée à Keur Massar. Le nommé Ndéné Diop m’a joint au téléphone, en me déclarant que je devais lui verser de l’argent sur les derniers clients que j’avais reçus le samedi. Je lui ai demandé d’attendre mon retour. Une fois à la maison, il est venu dans ma chambre en me réclamant de l’argent. Je lui ai répondu que je n’avais pas travaillé parce que j’avais des douleurs au niveau du sexe. Il a commencé à me battre. C’est ainsi que j’ai réussi à m’enfuir de la maison et je suis directement allée à la police pour les dénoncer ».
Face aux limiers, Ndéné Diop et Alioune nient les faits. Juste que, lors de la perquisition dans le domicile du sieur Diop, les enquêteurs ont trouvé d’autres femmes qui exerçaient le plus vieux métier du monde et dans la chambre qu’occupait la victime, des préservatifs ont été trouvés sur place. Les deux mis en cause ont été arrêtés et déférés au parquet, pour proxénétisme et incitation à la débauche.
Face à son refus, le sieur Diop lui dit qu’elle se prostituera de force, avant d’appeler l’ex de la femme de ménage qui s’est présenté sur les lieux, en lui montrant la vidéo de ses ébats avec le sieur Diop, la menaçant de la publier sur les réseaux sociaux si toutefois elle refusait de se prostituer. « N’ayant pas le choix, j’ai accepté et Ndéné Diop m’a donné une chambre dans son appartement. Il a commencé à m’amener des clients qui payaient entre 5000 et 15 000 FCfa. Parfois, j’encaissais 60 000 FCfa si le client décide de passer la nuit. Après chaque acte, ils prenaient leur part sur l’argent. Je faisais la prostitution malgré moi et à chaque fois que j’entretenais des rapports sexuels avec des inconnus, je ressentais du dégoût », raconte-t-elle.
Sur sa décision de se libérer, elle se confie : « Dimanche dernier, aux environs de 9 heures, je suis allée à Keur Massar. Le nommé Ndéné Diop m’a joint au téléphone, en me déclarant que je devais lui verser de l’argent sur les derniers clients que j’avais reçus le samedi. Je lui ai demandé d’attendre mon retour. Une fois à la maison, il est venu dans ma chambre en me réclamant de l’argent. Je lui ai répondu que je n’avais pas travaillé parce que j’avais des douleurs au niveau du sexe. Il a commencé à me battre. C’est ainsi que j’ai réussi à m’enfuir de la maison et je suis directement allée à la police pour les dénoncer ».
Face aux limiers, Ndéné Diop et Alioune nient les faits. Juste que, lors de la perquisition dans le domicile du sieur Diop, les enquêteurs ont trouvé d’autres femmes qui exerçaient le plus vieux métier du monde et dans la chambre qu’occupait la victime, des préservatifs ont été trouvés sur place. Les deux mis en cause ont été arrêtés et déférés au parquet, pour proxénétisme et incitation à la débauche.