Le Commandant de Brigade de la gendarmerie territoriale de Thiaroye et ses hommes se sont transportés sur les lieux, renseigne Le Populaire, pour vérifier l'information qui s'est trouvée avérée. Ils ont ainsi découvert des manutentionnaires en pleine activité de reconditionnement des sac de riz estampillés "Rambo", avec une date de péremption prévue au mois de juin 2016, dans d'autres sacs neufs avec le logo "Minaret", on remarque une autre date majorée à août 2017.
Le communiqué renseigne que les investigations dans l'entrepôt ont permis la découverte de plusieurs lots de sacs de ce riz dégageant une odeur nauséabonde et piquante et dont le reconditionnement se faisait avec une machine à coudre et du fil de bobinage à l'intérieur de l'entrepôt sans déclaration ni surveillance des agents du service du commerce. Aussi, en étroite collaboration avec le service départemental du commerce de Pikine, un échantillon du riz a-t-il été prélevé pour être soumis à une analyse auprès du Laboratoire national d'analyse et de contrôle de la Direction du commerce intérieur. Le rapport d'analyse a conclu à un échantillon non conforme à la norme NS 03-029 de juin 1996 en ce qui concerne la coloration, les impuretés et la présence d'insectes vivants, par conséquent, impropre à la consommation humaine.
Ainsi, indique le journal, le stock de riz "Rambo", le riz reconditionné dans les sacs "Minaret", a été alors inventorié, saisi et placé sous scellés dans 2 magasins, pour tromperie sur les qualités substantielles qui est un délit prévu et réprimé par la loi 66-48 du 27 mai 1966, relative au contrôle des produits alimentaires et la répression des fraudes. L'inventaire du stock saisi est de 464,45 tonnes de riz d'une valeur estimée à 1 207 570 000 francs Cfa. Le propriétaire de l'entrepôt, ne pouvant pas ou ne voulant pas indiquer l'identité et l'adresse du prétendu possesseur légitime du stock, a été conduit, après clôture du procès-verbal, auprès du service départemental du commerce de Pikine. Quant à l'enquête, elle suit son cours.
Le communiqué renseigne que les investigations dans l'entrepôt ont permis la découverte de plusieurs lots de sacs de ce riz dégageant une odeur nauséabonde et piquante et dont le reconditionnement se faisait avec une machine à coudre et du fil de bobinage à l'intérieur de l'entrepôt sans déclaration ni surveillance des agents du service du commerce. Aussi, en étroite collaboration avec le service départemental du commerce de Pikine, un échantillon du riz a-t-il été prélevé pour être soumis à une analyse auprès du Laboratoire national d'analyse et de contrôle de la Direction du commerce intérieur. Le rapport d'analyse a conclu à un échantillon non conforme à la norme NS 03-029 de juin 1996 en ce qui concerne la coloration, les impuretés et la présence d'insectes vivants, par conséquent, impropre à la consommation humaine.
Ainsi, indique le journal, le stock de riz "Rambo", le riz reconditionné dans les sacs "Minaret", a été alors inventorié, saisi et placé sous scellés dans 2 magasins, pour tromperie sur les qualités substantielles qui est un délit prévu et réprimé par la loi 66-48 du 27 mai 1966, relative au contrôle des produits alimentaires et la répression des fraudes. L'inventaire du stock saisi est de 464,45 tonnes de riz d'une valeur estimée à 1 207 570 000 francs Cfa. Le propriétaire de l'entrepôt, ne pouvant pas ou ne voulant pas indiquer l'identité et l'adresse du prétendu possesseur légitime du stock, a été conduit, après clôture du procès-verbal, auprès du service départemental du commerce de Pikine. Quant à l'enquête, elle suit son cours.