L'Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Centre africain de contrôle des maladies (CDC) ont lancé un nouveau réseau de laboratoires qui renforcera le séquençage du génome du coronavirus en Afrique.
L'initiative vise à étudier les éventuelles mutations du virus afin de préparer de meilleures réponses en matière de santé publique.
Les experts de l'OMS et du CDC Afrique estiment que cette initiative aidera les pays à comprendre les différentes souches du virus SRAS-Cov-2, afin d'améliorer la riposte des pays, les traitements ou les vaccins éventuels et de les rendre plus pertinents pour la population du continent.
Douze laboratoires spécialisés rejoindront le réseau en Afrique. Dix lignées différentes du coronavirus ont été identifiées à ce jour sur le continent.
Cette initiative intervient après que le CDC Afrique ait déclaré que les premiers rapports montraient que la courbe Covid-19 était en chute en Afrique, qui compte un nombre nettement plus faible de cas et de décès dus au virus par rapport au reste du monde.
Mais l'OMS a mis en garde contre toute célébration prématurée d'une victoire sur la maladie en Afrique car les Nations africaines testent également leurs populations beaucoup moins que le reste du monde.
Que se passe-t-il ailleurs sur le continent ?
Le Kenya participera aux essais cliniques (phase avancée) d'un vaccin contre le coronavirus en cours de développement par AstraZeneca et l'université d'Oxford.
Il sera le deuxième pays africain à participer aux essais qui ont été suspendus mercredi après qu'un volontaire ait eu une réaction indésirable présumée au Royaume-Uni.
Plus de 1 000 volontaires ont déjà été recrutés en Afrique du Sud pour les essais.
Au moins 400 professionnels de la santé participeront aux essais kenyans qui seront menés dans deux villes côtières, Mombasa et Kilifi.
Ces deux villes ont été classées en avril comme des points chauds pour du coronavirus par le gouvernement.
Le candidat vaccin de l'université d'AstraZeneca-Oxford fait partie des neuf autres essais de vaccins en cours au sein de population cible sélectionnée plus importants au niveau mondial.
Les participants recevront deux injections à quatre semaines d'intervalle. Ils seront également autorisés à poursuivre normalement leur vie. L'exposition au virus n'entraînera pas le retrait des volontaires du programme.
Les essais permettront de déterminer le niveau de sécurité du vaccin, sa capacité à générer une protection et son efficacité. Les résultats préliminaires des conclusions seront publiés en novembre.
L'initiative vise à étudier les éventuelles mutations du virus afin de préparer de meilleures réponses en matière de santé publique.
Les experts de l'OMS et du CDC Afrique estiment que cette initiative aidera les pays à comprendre les différentes souches du virus SRAS-Cov-2, afin d'améliorer la riposte des pays, les traitements ou les vaccins éventuels et de les rendre plus pertinents pour la population du continent.
Douze laboratoires spécialisés rejoindront le réseau en Afrique. Dix lignées différentes du coronavirus ont été identifiées à ce jour sur le continent.
Cette initiative intervient après que le CDC Afrique ait déclaré que les premiers rapports montraient que la courbe Covid-19 était en chute en Afrique, qui compte un nombre nettement plus faible de cas et de décès dus au virus par rapport au reste du monde.
Mais l'OMS a mis en garde contre toute célébration prématurée d'une victoire sur la maladie en Afrique car les Nations africaines testent également leurs populations beaucoup moins que le reste du monde.
Que se passe-t-il ailleurs sur le continent ?
Le Kenya participera aux essais cliniques (phase avancée) d'un vaccin contre le coronavirus en cours de développement par AstraZeneca et l'université d'Oxford.
Il sera le deuxième pays africain à participer aux essais qui ont été suspendus mercredi après qu'un volontaire ait eu une réaction indésirable présumée au Royaume-Uni.
Plus de 1 000 volontaires ont déjà été recrutés en Afrique du Sud pour les essais.
Au moins 400 professionnels de la santé participeront aux essais kenyans qui seront menés dans deux villes côtières, Mombasa et Kilifi.
Ces deux villes ont été classées en avril comme des points chauds pour du coronavirus par le gouvernement.
Le candidat vaccin de l'université d'AstraZeneca-Oxford fait partie des neuf autres essais de vaccins en cours au sein de population cible sélectionnée plus importants au niveau mondial.
Les participants recevront deux injections à quatre semaines d'intervalle. Ils seront également autorisés à poursuivre normalement leur vie. L'exposition au virus n'entraînera pas le retrait des volontaires du programme.
Les essais permettront de déterminer le niveau de sécurité du vaccin, sa capacité à générer une protection et son efficacité. Les résultats préliminaires des conclusions seront publiés en novembre.