Selon Moussa Sissokho, secrétaire général du Syndicat des travailleurs des collectivités territoriales, « En mettant en place la commission ad hoc chargée de se pencher sur cette affaire, la Primature a ainsi prouvé sa volonté de privilégier le dialogue pour aboutir à une paix sociale. Le Premier ministre avait donné un délai de dix (10) jours à celle-ci pour livrer ses travaux».
Par contre, « L’intersyndicale, tout en magnifiant la modification du décret n°2012-284 du 17 février fixant le régime spécial applicable aux agents non fonctionnaires des collectivités locales, dont la validation s’est faite au sein du comité en présence de l’ISTCTS, et qui donne désormais le droit légal aux agents fonctionnaires et non fonctionnaires des collectivités territoriales, de bénéficier des augmentations en question, s’inquiète cependant du retard contracté par le comité ad hoc pour remettre ses conclusions », se préoccupe le secrétaire général du syndicat des travailleurs des collectivités territoriales.
C’est à ce sens que Moussa Sissokho et ses camarades interpellent « le gouvernement de procéder au paiement des augmentations de salaire à la fin du mois de janvier 2024 et à la signature du protocole d’accord convenu lors de l’audience avec le Premier ministre. »
Par ailleurs, toujours dans le souci de préserver la paix et la stabilité sociale surtout dans un contexte de campagne électorale, « l’intersyndicale souhaiterait éviter toute immixtion malencontreuse qui résulterait du non-paiement de ces droits légitimes réclamés pendant plus d’une année par ces braves travailleurs des collectivités territoriales », ajoute M. Sissokho.
Aussi, « L’intersyndicale exige le paiement de cette revalorisation salariale au même titre que les exécutifs locaux (maires et président de conseil départemental) autres secteurs d’activité de notre pays. »
Il faut noter que de cette réunion de la commission ad hoc, il a été recommandé entre autres, un projet d’acte réglementaire autorisant aux services du Trésor de procéder au paiement de l’indemnité de revalorisation ; un projet d’acte réglementaire pour encadrer, aligner et systématiser le recrutement des agents des collectivités territoriales par l’organisation de concours au même titre que les agents de l’Etat central dans le respect des principes de libre administration des collectivités…
Par contre, « L’intersyndicale, tout en magnifiant la modification du décret n°2012-284 du 17 février fixant le régime spécial applicable aux agents non fonctionnaires des collectivités locales, dont la validation s’est faite au sein du comité en présence de l’ISTCTS, et qui donne désormais le droit légal aux agents fonctionnaires et non fonctionnaires des collectivités territoriales, de bénéficier des augmentations en question, s’inquiète cependant du retard contracté par le comité ad hoc pour remettre ses conclusions », se préoccupe le secrétaire général du syndicat des travailleurs des collectivités territoriales.
C’est à ce sens que Moussa Sissokho et ses camarades interpellent « le gouvernement de procéder au paiement des augmentations de salaire à la fin du mois de janvier 2024 et à la signature du protocole d’accord convenu lors de l’audience avec le Premier ministre. »
Par ailleurs, toujours dans le souci de préserver la paix et la stabilité sociale surtout dans un contexte de campagne électorale, « l’intersyndicale souhaiterait éviter toute immixtion malencontreuse qui résulterait du non-paiement de ces droits légitimes réclamés pendant plus d’une année par ces braves travailleurs des collectivités territoriales », ajoute M. Sissokho.
Aussi, « L’intersyndicale exige le paiement de cette revalorisation salariale au même titre que les exécutifs locaux (maires et président de conseil départemental) autres secteurs d’activité de notre pays. »
Il faut noter que de cette réunion de la commission ad hoc, il a été recommandé entre autres, un projet d’acte réglementaire autorisant aux services du Trésor de procéder au paiement de l’indemnité de revalorisation ; un projet d’acte réglementaire pour encadrer, aligner et systématiser le recrutement des agents des collectivités territoriales par l’organisation de concours au même titre que les agents de l’Etat central dans le respect des principes de libre administration des collectivités…