Les jeunes filles, A. B et B. K, étaient sorties vers les coups de minuit pour jeter des ordures au marché Castor. Mais, elles ont eu la mal chance de croiser sur leur chemin Y. Sylla et S. Camara. D'après L'As, ces derniers leur ont demandé si elles connaissaient un marabout du nom de El Hadj Diallo. Et c’est le moment choisi par S. Camara pour faire irruption en s’invitant dans la causerie.
Faisant mine de ne pas le connaître, Y. Sylla a dit aux fillettes de lui demander s’il parlait soussou afin de leur servir d’interprète. Il a répondu par l’affirmative. Mais comme par enchantement, il a même prétendu connaître le marabout que recherchait son acolyte. Mais au moment où les fillettes voulaient prendre congé d’eux, les deux hommes ont dit qu’ils allaient prier pour elles afin de les remercier pour le service rendu.
« C’est à partir de ce moment que j’ai perdu connaissance », affirme B.K, qui a précisé que Y. Sylla lui a demandé d’aller chez elle pour récupérer deux ordinateurs portables et de l’argent et de revenir les trouver au terrain. Sans arrière-pensée, elle s’est exécutée, laissant derrière elle sa cousine qu’ils avaient pris en « otage ».
Selon toujours B.K, une fois à la maison, il a croisé son père et lui a expliqué ce qui venait de se passer. Ainsi, accompagné d’autres membres de la famille, son père est retourné avec elle sur les lieux pour s’occuper des charlatans, avant de les conduire chez les forces de l’ordre. Arrêtés pour détournement de mineure et charlatanisme, Y. Sylla a nié les accusations portées à son encontre.
Il nie même être un charlatan. Selon lui, il est un vendeur de café Touba. Le jour des faits, c’est à sa descente vers les coups de minuit qu’il a croisé les fillettes dont la maman de l’une d’elle tient une gargote. A la suite d’une discussion, raconte-t-il, B.K est soudainement parti avant de revenir avec des gens qui les ont sévèrement molestés avant de les embarquer à bord d’un taxi vers la police. Abondant dans le même sillage, S. Camara a aussi nié avoir connu son acolyte avant de s’inscrire en faux contre les accusations des fillettes. Mais ces dénégations n’ont pas plaidé en leur faveur. Car ils feront face au maître des poursuites ces jours-ci pour répondre de leurs actes.
Faisant mine de ne pas le connaître, Y. Sylla a dit aux fillettes de lui demander s’il parlait soussou afin de leur servir d’interprète. Il a répondu par l’affirmative. Mais comme par enchantement, il a même prétendu connaître le marabout que recherchait son acolyte. Mais au moment où les fillettes voulaient prendre congé d’eux, les deux hommes ont dit qu’ils allaient prier pour elles afin de les remercier pour le service rendu.
« C’est à partir de ce moment que j’ai perdu connaissance », affirme B.K, qui a précisé que Y. Sylla lui a demandé d’aller chez elle pour récupérer deux ordinateurs portables et de l’argent et de revenir les trouver au terrain. Sans arrière-pensée, elle s’est exécutée, laissant derrière elle sa cousine qu’ils avaient pris en « otage ».
Selon toujours B.K, une fois à la maison, il a croisé son père et lui a expliqué ce qui venait de se passer. Ainsi, accompagné d’autres membres de la famille, son père est retourné avec elle sur les lieux pour s’occuper des charlatans, avant de les conduire chez les forces de l’ordre. Arrêtés pour détournement de mineure et charlatanisme, Y. Sylla a nié les accusations portées à son encontre.
Il nie même être un charlatan. Selon lui, il est un vendeur de café Touba. Le jour des faits, c’est à sa descente vers les coups de minuit qu’il a croisé les fillettes dont la maman de l’une d’elle tient une gargote. A la suite d’une discussion, raconte-t-il, B.K est soudainement parti avant de revenir avec des gens qui les ont sévèrement molestés avant de les embarquer à bord d’un taxi vers la police. Abondant dans le même sillage, S. Camara a aussi nié avoir connu son acolyte avant de s’inscrire en faux contre les accusations des fillettes. Mais ces dénégations n’ont pas plaidé en leur faveur. Car ils feront face au maître des poursuites ces jours-ci pour répondre de leurs actes.