Dénommée ‘’Jaappalé’’ (aider en wolof), cette plateforme ‘’va faciliter la collecte de fonds et le renforcement des capacités de ces petites organisations […]’’, expliquent les initiateurs dans un communiqué de presse transmis à l’APS.
Ils précisent qu’il s’agit de ‘’soutenir la réalisation’’ des objectifs socio-économiques de ces organisations, ‘’y compris l’amélioration des conditions de vie des couches pauvres et vulnérables de la société’’.
Selon le communiqué, ‘’les actions de développement coordonnées par les communautés locales s’avèrent souvent plus efficaces, avec des résultats plus importants’’.
En dépit de cela, relève-t-il, ‘’ces institutions locales ont souvent du mal à accéder aux outils modernes de gestion, de communication et aux financements qui leur permettraient d’atteindre leur potentiel’’.
‘’L’un des canaux sur lesquels la plateforme compte s’appuyer est basé sur le web, à travers le site de financement solidaire (…) dans la même lancée que les plateformes américaines renommées telles que GoFundMe, Indiegogo et Kickstarter’’, poursuit le communiqué.
Il annonce l’exploitation dans un futur proche d’autres canaux, ‘’y compris des campagnes sur les réseaux sociaux, radio et télévision, ainsi que le déploiement d’une stratégie de « street marketing » dans les grandes villes’’.
‘’La plateforme Jaappalé compte ainsi faciliter le financement participatif de projets communautaires en encourageant des contributions individuelles à grande échelle. Avec chaque petite contribution, l’individu aide l’institution demandeuse à se rapprocher du bouclage du financement nécessaire pour le projet désigné’’, expliquent les initiateurs.
Selon eux, ‘’la diversité des campagnes mises à disposition permettra à chacun de contribuer selon ses sensibilités et centres d’intérêts. Chaque campagne inclut une description complète des besoins en fonds et une présentation de l’institution qui porte le projet. Suite au financement des projets, Jaappalé s’engage à suivre le projet et à publier des informations sur la mise en œuvre et/ou les résultats du projet sur la page web de la plateforme
Ils précisent qu’il s’agit de ‘’soutenir la réalisation’’ des objectifs socio-économiques de ces organisations, ‘’y compris l’amélioration des conditions de vie des couches pauvres et vulnérables de la société’’.
Selon le communiqué, ‘’les actions de développement coordonnées par les communautés locales s’avèrent souvent plus efficaces, avec des résultats plus importants’’.
En dépit de cela, relève-t-il, ‘’ces institutions locales ont souvent du mal à accéder aux outils modernes de gestion, de communication et aux financements qui leur permettraient d’atteindre leur potentiel’’.
‘’L’un des canaux sur lesquels la plateforme compte s’appuyer est basé sur le web, à travers le site de financement solidaire (…) dans la même lancée que les plateformes américaines renommées telles que GoFundMe, Indiegogo et Kickstarter’’, poursuit le communiqué.
Il annonce l’exploitation dans un futur proche d’autres canaux, ‘’y compris des campagnes sur les réseaux sociaux, radio et télévision, ainsi que le déploiement d’une stratégie de « street marketing » dans les grandes villes’’.
‘’La plateforme Jaappalé compte ainsi faciliter le financement participatif de projets communautaires en encourageant des contributions individuelles à grande échelle. Avec chaque petite contribution, l’individu aide l’institution demandeuse à se rapprocher du bouclage du financement nécessaire pour le projet désigné’’, expliquent les initiateurs.
Selon eux, ‘’la diversité des campagnes mises à disposition permettra à chacun de contribuer selon ses sensibilités et centres d’intérêts. Chaque campagne inclut une description complète des besoins en fonds et une présentation de l’institution qui porte le projet. Suite au financement des projets, Jaappalé s’engage à suivre le projet et à publier des informations sur la mise en œuvre et/ou les résultats du projet sur la page web de la plateforme