Guy Marius Sagna est d’attaque. Il vient de déposer sur la table du président de l’Assemblée nationale, dix (10) questions orales et deux (02) questions d'actualité.
Dans une note parvenue à «L’As», le député liste en détails des préoccupations de nature différente qu’il faudrait, selon lui, résoudre en invoquant des questions orales. La première des doléances porte sur les discriminations salariales qui frappent actuellement, onze chefs de division à l’Agence de la sécurité de proximité (Asp). Selon M. Sagna, ces derniers sont payés 400 000 FCfa de moins que d’autres employés de la boîte ayant les mêmes rangs et grades, en violation flagrante des textes. Il estime dans la foulée, que «des salaires conformes à la législation sont payés aux agents membres de l’Apr et à des proches du Directeur de l’Agence de la sécurité de proximité ».
Et malgré les promesses du Directeur, mentionne-ton dans "L'As", cette disparité de traitement salarial persiste. Il a également fait état de la question des arriérés de salaire dus à 16 travailleurs du Centre de Traitement des Epidémies (Cte) de l'hôpital régional de Ziguinchor et de l'indexation des salaires des travailleurs des bateaux de pêche sur la convention de l'OIT de 2007.
Toujours dans ses questions orales, le député de Ziguinchor est revenu sur les difficultés des Sénégalais établis en France, qui peinent à trouver du travail du fait de l'ambassade de France au Sénégal. A l’en croire, depuis 2020, la mention «autorisé à travailler» a disparu des visas long séjou,r avec comme conséquence, le refus des entreprises d’employer les détenteurs de ces visas. Ainsi, dit-il, ces derniers peuvent rester plus de 6 mois voire plus de douze mois, sans pouvoir travailler.
En outre, le néo député du peuple déplore le désert syndical dans les entreprises de centres d'appels, les difficultés des populations des villages de Tchiky et environs face aux cimenteries ; la négligence de la filière porcine ; la privatisation de l'Université virtuelle du Sénégal (Uvs) concernant particulièrement la promotion 6 de l’institution.
Guy Marius Sagna s’est également interrogé sur l'état des recherches pour retrouver l'adjudant-chef Didier Badji. Pour les questions d'actualité, le leader de Frapp France Dégage est revenu sur le rôle des mercenaires de la désinformation dans la réélection du Président candidat Macky Sall en 2019, faisant allusion au « scandale international TEAM JORGE».
En définitive, il a soulevé la problématique des nervis et milices privées qui servent aux côtés des forces de sécurité. Il souligne que l’«agression » et les tirs de grenades lacrymogènes essuyés par Ousmane Sonko le 16 février 2023, dans le tunnel de Soumbédioune, l’ont démontré amplement et que cela laisse apparaître de nombreuses zones d’ombre à propos desquelles, les députés tiennent absolument à avoir les réponses appropriées de la part du gouvernement.
Dans une note parvenue à «L’As», le député liste en détails des préoccupations de nature différente qu’il faudrait, selon lui, résoudre en invoquant des questions orales. La première des doléances porte sur les discriminations salariales qui frappent actuellement, onze chefs de division à l’Agence de la sécurité de proximité (Asp). Selon M. Sagna, ces derniers sont payés 400 000 FCfa de moins que d’autres employés de la boîte ayant les mêmes rangs et grades, en violation flagrante des textes. Il estime dans la foulée, que «des salaires conformes à la législation sont payés aux agents membres de l’Apr et à des proches du Directeur de l’Agence de la sécurité de proximité ».
Et malgré les promesses du Directeur, mentionne-ton dans "L'As", cette disparité de traitement salarial persiste. Il a également fait état de la question des arriérés de salaire dus à 16 travailleurs du Centre de Traitement des Epidémies (Cte) de l'hôpital régional de Ziguinchor et de l'indexation des salaires des travailleurs des bateaux de pêche sur la convention de l'OIT de 2007.
Toujours dans ses questions orales, le député de Ziguinchor est revenu sur les difficultés des Sénégalais établis en France, qui peinent à trouver du travail du fait de l'ambassade de France au Sénégal. A l’en croire, depuis 2020, la mention «autorisé à travailler» a disparu des visas long séjou,r avec comme conséquence, le refus des entreprises d’employer les détenteurs de ces visas. Ainsi, dit-il, ces derniers peuvent rester plus de 6 mois voire plus de douze mois, sans pouvoir travailler.
En outre, le néo député du peuple déplore le désert syndical dans les entreprises de centres d'appels, les difficultés des populations des villages de Tchiky et environs face aux cimenteries ; la négligence de la filière porcine ; la privatisation de l'Université virtuelle du Sénégal (Uvs) concernant particulièrement la promotion 6 de l’institution.
Guy Marius Sagna s’est également interrogé sur l'état des recherches pour retrouver l'adjudant-chef Didier Badji. Pour les questions d'actualité, le leader de Frapp France Dégage est revenu sur le rôle des mercenaires de la désinformation dans la réélection du Président candidat Macky Sall en 2019, faisant allusion au « scandale international TEAM JORGE».
En définitive, il a soulevé la problématique des nervis et milices privées qui servent aux côtés des forces de sécurité. Il souligne que l’«agression » et les tirs de grenades lacrymogènes essuyés par Ousmane Sonko le 16 février 2023, dans le tunnel de Soumbédioune, l’ont démontré amplement et que cela laisse apparaître de nombreuses zones d’ombre à propos desquelles, les députés tiennent absolument à avoir les réponses appropriées de la part du gouvernement.