« Cette unité industrielle qui a été lancée, devrait permettre à un ensemble de producteurs aussi bien de la région que des autres, de trouver solutions à la lancinante question de la surproduction. L’essentiel, c’est de faire en sorte que ce projet qui va lutter contre la pauvreté, le chômage des jeunes, des femmes, puisse aboutir», a déclaré le gouverneur de Saint-Louis, Alioune Badara Samb, qui promet d’accompagner cette initiative de même que les services techniques.
«Ce que nous attendons, ce sont des taxes et des impôts pour le Sénégal, c’est le transfert de technologie pour que d’autres Sénégalais puissent investir ce secteur. Il sera nécessaire de se donner la main pour accompagner ce projet d’envergure», a soutenu le gouverneur (Ndlr : les mairies de Diama et de Ross-Béthio se disputent la paternité de ce village qui traverse la commune de Ross-Béthio). Rapporte Vipeoples .
L’usine va commencer à fonctionner à partir de 2023, en procédant à la transformation de l’oignon et à sa valorisation pour l’industrie agroalimentaire locale et internationale. Ce qui apportera une plus-value à la filière nationale. Elle permettra un débouché complémentaire aux producteurs locaux de la vallée
Pour Emmanuel Valentin Dulac, cette usine qui sera la seule sur le continent africain, permettra «d’avoir une offre africaine pour des acheteurs africains». A l’en croire, parfois l’offre africaine est peu compétitive sur son propre marché et concurrencée par les étrangers. « Nous aurons un argument compétitif majeur par rapport à nos concurrents internationaux. Nous serons les seuls à utiliser une énergie propre et cinq fois moins coûteuse que la leur », a révélé M. Dulac.
SAF Ingrédient, dotée d’une technologie de pointe, préconise une démarche participative durable. Ce projet est accompagné par la SCFI du groupe Banque mondiale. SAF Ingrédients va investir plus de 15 milliards FCfa et s’appuiera sur une usine de 4000 m2. Pour le Dg, tout le monde doit tirer dans le même sens. Cette usine va transformer plus de 35 000 tonnes par an et fournir 5 000 tonnes finies au marché agroalimentaire sénégalais dans la sous-région. Il y aura une source d’approvisionnement valorisant la filière. La qualité sera de mise dans le recrutement avec les Sénégalais.
«Ce que nous attendons, ce sont des taxes et des impôts pour le Sénégal, c’est le transfert de technologie pour que d’autres Sénégalais puissent investir ce secteur. Il sera nécessaire de se donner la main pour accompagner ce projet d’envergure», a soutenu le gouverneur (Ndlr : les mairies de Diama et de Ross-Béthio se disputent la paternité de ce village qui traverse la commune de Ross-Béthio). Rapporte Vipeoples .
L’usine va commencer à fonctionner à partir de 2023, en procédant à la transformation de l’oignon et à sa valorisation pour l’industrie agroalimentaire locale et internationale. Ce qui apportera une plus-value à la filière nationale. Elle permettra un débouché complémentaire aux producteurs locaux de la vallée
Pour Emmanuel Valentin Dulac, cette usine qui sera la seule sur le continent africain, permettra «d’avoir une offre africaine pour des acheteurs africains». A l’en croire, parfois l’offre africaine est peu compétitive sur son propre marché et concurrencée par les étrangers. « Nous aurons un argument compétitif majeur par rapport à nos concurrents internationaux. Nous serons les seuls à utiliser une énergie propre et cinq fois moins coûteuse que la leur », a révélé M. Dulac.
SAF Ingrédient, dotée d’une technologie de pointe, préconise une démarche participative durable. Ce projet est accompagné par la SCFI du groupe Banque mondiale. SAF Ingrédients va investir plus de 15 milliards FCfa et s’appuiera sur une usine de 4000 m2. Pour le Dg, tout le monde doit tirer dans le même sens. Cette usine va transformer plus de 35 000 tonnes par an et fournir 5 000 tonnes finies au marché agroalimentaire sénégalais dans la sous-région. Il y aura une source d’approvisionnement valorisant la filière. La qualité sera de mise dans le recrutement avec les Sénégalais.