Parallèlement, elle dit apprécier positivement les efforts consentis par le gouvernement, qui ont permis le retour de la paix sociale dans le secteur de l’éducation. Dans la perspective d’une consolidation de la stabilité sociale dans la Fonction publique, la CNTS invite le gouvernement :
- au respect strict des termes du Protocole d'accord du 26 Février 2022
- à l’ouverture de négociations sérieuses avec les syndicats de la santé
- à l’examen et à l’amélioration des conditions statutaires et salariales des autres agents de l’Etat, pour plus d’équité et de justice sociale, en attendant la révision du système de rémunération des agents de la Fonction publique, gage de stabilité du climat social et de performance des travailleurs.
- le renforcement des structures et mécanismes du dialogue social pour une meilleure gestion des relations professionnelles dans la Fonction publique.
Par ailleurs, la Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal salue la décision de Monsieur le président de la République de réduire les prix de certaines denrées de première nécessité pour atténuer les difficultés que rencontrent les travailleurs en particulier et les populations, en général. La CNTS invite le gouvernement à prendre toutes les dispositions nécessaires pour assurer l’effectivité des nouveaux prix.
Mais elle dénonce et condamne le développement d’une nouvelle forme de spéculation sur les loyers et le foncier, exposant les ménages dans des situations difficiles un peu partout à travers le pays.
« La CNTS demande à Monsieur le président de la République, qui est déjà saisi de la question, à mettre fin à la spéculation foncière, particulièrement, dans la zone de Tivaouane Peul- Niaga, où les coopératives de ANSD, Gaindé 2000, SNEEl/CNTS, Gouvernance, Total ELF, RTS, BSOAP, COFISAC, FUMOA, subissent depuis 2004, une injustice que leur fait subir le Groupe Nabi. En effet après avoir encaissé un montant de sept cent vingt-sept millions cinq cents mille (727 500 000) francs Cfa, les travailleurs de ces coopératives n’arrivent toujours pas à disposer de leurs parcelles », poursuit le communiqué.
Elle a aussi réaffirmé son soutien et sa solidarité à l’ensemble des travailleurs des entreprises, établissements et services en lutte pour le respect de leurs droits et invite en conséquence, l’Etat et le Patronat à toujours inscrire dans les politiques et programmes, l’approche Droits Humains afin de garantir les droits fondamentaux au travail, conformément aux instruments de l’OIT.
- au respect strict des termes du Protocole d'accord du 26 Février 2022
- à l’ouverture de négociations sérieuses avec les syndicats de la santé
- à l’examen et à l’amélioration des conditions statutaires et salariales des autres agents de l’Etat, pour plus d’équité et de justice sociale, en attendant la révision du système de rémunération des agents de la Fonction publique, gage de stabilité du climat social et de performance des travailleurs.
- le renforcement des structures et mécanismes du dialogue social pour une meilleure gestion des relations professionnelles dans la Fonction publique.
Par ailleurs, la Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal salue la décision de Monsieur le président de la République de réduire les prix de certaines denrées de première nécessité pour atténuer les difficultés que rencontrent les travailleurs en particulier et les populations, en général. La CNTS invite le gouvernement à prendre toutes les dispositions nécessaires pour assurer l’effectivité des nouveaux prix.
Mais elle dénonce et condamne le développement d’une nouvelle forme de spéculation sur les loyers et le foncier, exposant les ménages dans des situations difficiles un peu partout à travers le pays.
« La CNTS demande à Monsieur le président de la République, qui est déjà saisi de la question, à mettre fin à la spéculation foncière, particulièrement, dans la zone de Tivaouane Peul- Niaga, où les coopératives de ANSD, Gaindé 2000, SNEEl/CNTS, Gouvernance, Total ELF, RTS, BSOAP, COFISAC, FUMOA, subissent depuis 2004, une injustice que leur fait subir le Groupe Nabi. En effet après avoir encaissé un montant de sept cent vingt-sept millions cinq cents mille (727 500 000) francs Cfa, les travailleurs de ces coopératives n’arrivent toujours pas à disposer de leurs parcelles », poursuit le communiqué.
Elle a aussi réaffirmé son soutien et sa solidarité à l’ensemble des travailleurs des entreprises, établissements et services en lutte pour le respect de leurs droits et invite en conséquence, l’Etat et le Patronat à toujours inscrire dans les politiques et programmes, l’approche Droits Humains afin de garantir les droits fondamentaux au travail, conformément aux instruments de l’OIT.
Rapporte Vipeoples .