Le Pape Grégoire Ier institue, aux alentours de l’an 591, la coutume, en ce mercredi du début du Carême, de consacrer au service divin, les Cendres des Rameaux de l’année précédente et de tracer, avec ces Cendres, une croix sur le front des fidèles. Ce rituel marque ainsi le début de quarante (40) jours de jeûne, de pénitence, de partage, que tout chrétien devra observer toute la période. Cette marche qui devra conduire le chrétien à Pâques, un temps de pureté, d’allégresse, reste un moment important dans la vie d’un fidèle chrétien.
Selon plusieurs théologiens, les Cendres sont le signe de pénitence que les chrétiens reçoivent sur le front, des mains d’un prêtre, sous la forme d’une croix. Le «Mercredi des Cendres» reste ainsi un jour de «purification» du corps et de l’esprit. C’est un jour de pénitence pour les chrétiens, qui repose sur la prière, l’aumône et le jeûne.
ORIGINE DES CENDRES
Dans l’Antiquité, les Cendres symbolisaient la pénitence. Les hommes s’en couvraient la tête et manifestaient ainsi, un grand malheur ou un deuil. Dans l’Ancien Testament, la Liturgie évoque, à de nombreuses reprises, les Cendres comme un symbole de tristesse de l’homme face au malheur. Ainsi, dans le livre de la Genèse, Abraham dit: «Voici, j’ai osé parler au Seigneur, moi qui ne suis que poudre et cendre». Dieu a aussi adressé cette parole éloquente envers Adam : «Tu es poussière, et à la poussière tu retourneras».
Selon le site Catholique.fr, ce rituel évoque globalement la représentation du péché́ et de la fragilité́ de l’être. On peut y lire que quand l’homme se recouvre de cendres, c’est qu’il veut montrer à Dieu qu’il reconnait ses fautes. Par voie de conséquence, il demande à̀ Dieu le pardon de ses péchés : il fait pénitence. Les cendres peuvent aussi être un signe de renaissance car, tous les hommes sont des pécheurs devant Dieu.
Maintenant, comment s’en dégager ? Dans le Nouveau Testament, Jésus apprend aux fidèles chrétiens qu’ils seront victorieux du péché́, quand ils auront appris par l’Évangile, à remplacer le feu du mal par le feu de l’Amour. Car le feu qui brûle ce jour, détruit d’abord ; mais, en même temps, ce feu éclaire, réchauffe, réconforte, guide et encourage.
Selon plusieurs théologiens, les Cendres sont le signe de pénitence que les chrétiens reçoivent sur le front, des mains d’un prêtre, sous la forme d’une croix. Le «Mercredi des Cendres» reste ainsi un jour de «purification» du corps et de l’esprit. C’est un jour de pénitence pour les chrétiens, qui repose sur la prière, l’aumône et le jeûne.
ORIGINE DES CENDRES
Dans l’Antiquité, les Cendres symbolisaient la pénitence. Les hommes s’en couvraient la tête et manifestaient ainsi, un grand malheur ou un deuil. Dans l’Ancien Testament, la Liturgie évoque, à de nombreuses reprises, les Cendres comme un symbole de tristesse de l’homme face au malheur. Ainsi, dans le livre de la Genèse, Abraham dit: «Voici, j’ai osé parler au Seigneur, moi qui ne suis que poudre et cendre». Dieu a aussi adressé cette parole éloquente envers Adam : «Tu es poussière, et à la poussière tu retourneras».
Selon le site Catholique.fr, ce rituel évoque globalement la représentation du péché́ et de la fragilité́ de l’être. On peut y lire que quand l’homme se recouvre de cendres, c’est qu’il veut montrer à Dieu qu’il reconnait ses fautes. Par voie de conséquence, il demande à̀ Dieu le pardon de ses péchés : il fait pénitence. Les cendres peuvent aussi être un signe de renaissance car, tous les hommes sont des pécheurs devant Dieu.
Maintenant, comment s’en dégager ? Dans le Nouveau Testament, Jésus apprend aux fidèles chrétiens qu’ils seront victorieux du péché́, quand ils auront appris par l’Évangile, à remplacer le feu du mal par le feu de l’Amour. Car le feu qui brûle ce jour, détruit d’abord ; mais, en même temps, ce feu éclaire, réchauffe, réconforte, guide et encourage.