Situé dans la région centre de Kaffrine au Sénégal, le domaine agricole Khelcom d’une superficie de 45 000 hectares, est la propriété de la très puissante communauté mouride, une confrérie fondée au début du XXe siècle par Cheikh Ahmadou Bamba.
Ce vaste champ où l’on cultive notamment des tonnes de mil, d’arachides et de haricots (niébé), est l’un des symboles du poids économique des mourides au Sénégal qui, comme chaque année, affluent vers Khelcom, pour prendre part à des travaux champêtres.
Ils seront des milliers ce 7 octobre, à participer à la tradition cette année, suite à l’appel du khalife de Serigne Saliou Mbacké , l’initiateur de ce champ. Une campagne qui devrait être bonne, puisque 3 000 hectares de superficie ont été emblavés pour le mil, avec 150 tonnes de semences traitées les années passées . Il en est de même pour le niébé avec 300 hectares.
Chaque année, de nombreux disciples mourides, des jeunes pour la plupart, prennent part à des travaux champêtres, à Khelcom, où 45.000 hectares ont été octroyés le 1er avril 1991 par l’Etat du Sénégal au khalife général des Mourides de l’époque, Serigne Saliou Mbacké (1915-2007), rapporte "Rewmi".
Ce vaste champ où l’on cultive notamment des tonnes de mil, d’arachides et de haricots (niébé), est l’un des symboles du poids économique des mourides au Sénégal qui, comme chaque année, affluent vers Khelcom, pour prendre part à des travaux champêtres.
Ils seront des milliers ce 7 octobre, à participer à la tradition cette année, suite à l’appel du khalife de Serigne Saliou Mbacké , l’initiateur de ce champ. Une campagne qui devrait être bonne, puisque 3 000 hectares de superficie ont été emblavés pour le mil, avec 150 tonnes de semences traitées les années passées . Il en est de même pour le niébé avec 300 hectares.
Chaque année, de nombreux disciples mourides, des jeunes pour la plupart, prennent part à des travaux champêtres, à Khelcom, où 45.000 hectares ont été octroyés le 1er avril 1991 par l’Etat du Sénégal au khalife général des Mourides de l’époque, Serigne Saliou Mbacké (1915-2007), rapporte "Rewmi".