La Sûreté urbaine de Dakar a démantelé le 27 octobre dernier un vaste réseau de proxénétisme qui étend ses tentacules jusqu’à Dubaï. Les actrices de cette prostitution déguisée de luxe sont sénégalaises d’une certaine classe : mannequins, commerçantes, serveuses, jet-jetteuses… muées en vendeuses distinguées de plaisir, pour ferrer de vicieux pétrodollars et riches libidineux dubaiotes et sénégalais.
Il s’agit de A. D. Mbodj, 24 ans domiciliée à Yoff Apecsy, des commerçantes M. Biagui 27 ans, domiciliée à la Sicap Baobab et Penda Faye 21 ans, domiciliée à Amitié 3, de la serveuse R. Diatta 28 ans, officiant au restaurant à l’enseigne « Marmiton », des demoiselles M. S. Sonko 25 ans et A. Guèye et du mannequin A. Seck 23 ans domiciliée à la Sicap Liberté 6. Le cerveau de cette entreprise mafieuse se nomme Médoune Guèye, alias Nino, gérant d’une entreprise de sérigraphie.
Il ressort de l’enquête que ce proxénète domicilié à la Patte d’Oie Bulders, déroulait ses activités délictuelles en adéquation avec sa copine, Ndeye S. Diakhaté, serveuse au restaurant « Crystal Palace ».
Le principe des proxénètes accepté, plusieurs filles se mettent à l’œuvre. Si certaines se sont photographiées dans des positions à caractère pornographique, d’autres, plus ambitieuses, ont choisi de produire des films érotiques dignes des stripteases bombe-latine. Des images et vidéos à caractère pornographique que Nino utilisait pour appâter ses richissimes clients de Dubaï et du Sénégal.
Seulement, Nino ne se limite pas à jouer les médiateurs sexuels, il n’hésitait à franchir le rubicon, en organisant des parties de jambes en l’air rétribuées à coups de liasses de billets de banques, entre les filles et des personnalité nationales triées de son carnet d’adresses.
C’est le 27 octobre que la police mise au parfum, a infiltré le réseau tenant pignon sur rue à Sicap Liberté 6 Extension où Medoune tient son QG. Pris de court, il a été retrouvé par devers lui une tablette de marque Sansumg, un appareil photographique de marque Sony dans lesquels, les enquêteurs ont découvert plusieurs photos et vidéos des filles susmentionnées et dont les identités ont été révélées par Nino.
Interpellées et entendues, elles ont confirmé être bien celles qui figures sur des photos et vidéos obscènes avant d’unanimement de regretter leur attitude déshonorante, arguant avoir été flouées par Médoune.
Arrêtée à son tour, Ndèye S. Diakhaté a nié toute complicité avec Médoune sans convaincre.
Au terme de la garde-à -vue, Médoune et sa clique ont été déférés hier au parquet pour respectivement proxénétisme, traite de personnes, diffusion d’images à caractère pornographique et défaut de carnet sanitaire.
Source : L’Observateur
Il s’agit de A. D. Mbodj, 24 ans domiciliée à Yoff Apecsy, des commerçantes M. Biagui 27 ans, domiciliée à la Sicap Baobab et Penda Faye 21 ans, domiciliée à Amitié 3, de la serveuse R. Diatta 28 ans, officiant au restaurant à l’enseigne « Marmiton », des demoiselles M. S. Sonko 25 ans et A. Guèye et du mannequin A. Seck 23 ans domiciliée à la Sicap Liberté 6. Le cerveau de cette entreprise mafieuse se nomme Médoune Guèye, alias Nino, gérant d’une entreprise de sérigraphie.
Il ressort de l’enquête que ce proxénète domicilié à la Patte d’Oie Bulders, déroulait ses activités délictuelles en adéquation avec sa copine, Ndeye S. Diakhaté, serveuse au restaurant « Crystal Palace ».
Le principe des proxénètes accepté, plusieurs filles se mettent à l’œuvre. Si certaines se sont photographiées dans des positions à caractère pornographique, d’autres, plus ambitieuses, ont choisi de produire des films érotiques dignes des stripteases bombe-latine. Des images et vidéos à caractère pornographique que Nino utilisait pour appâter ses richissimes clients de Dubaï et du Sénégal.
Seulement, Nino ne se limite pas à jouer les médiateurs sexuels, il n’hésitait à franchir le rubicon, en organisant des parties de jambes en l’air rétribuées à coups de liasses de billets de banques, entre les filles et des personnalité nationales triées de son carnet d’adresses.
C’est le 27 octobre que la police mise au parfum, a infiltré le réseau tenant pignon sur rue à Sicap Liberté 6 Extension où Medoune tient son QG. Pris de court, il a été retrouvé par devers lui une tablette de marque Sansumg, un appareil photographique de marque Sony dans lesquels, les enquêteurs ont découvert plusieurs photos et vidéos des filles susmentionnées et dont les identités ont été révélées par Nino.
Interpellées et entendues, elles ont confirmé être bien celles qui figures sur des photos et vidéos obscènes avant d’unanimement de regretter leur attitude déshonorante, arguant avoir été flouées par Médoune.
Arrêtée à son tour, Ndèye S. Diakhaté a nié toute complicité avec Médoune sans convaincre.
Au terme de la garde-à -vue, Médoune et sa clique ont été déférés hier au parquet pour respectivement proxénétisme, traite de personnes, diffusion d’images à caractère pornographique et défaut de carnet sanitaire.
Source : L’Observateur