Selon la présidente de cette initiative, Thiaba Camara Sy, la marge d’erreur de l’étude est de 3% et le niveau de confiance statistique à 95%. L’étude a été menée sur des secteurs prioritaires tels que la santé, l’éducation, la bonne gouvernance, l’économie. L’étude montre que 67% des Sénégalais sont insatisfaits du système éducatif.
Globalement, il est constaté que les grèves à répétition handicapent principalement les éléves issus de familles modestes. L’ étude montre qu’il y a une forte inégalité d’accès à l’enseignement entre zones urbaines et rurales.
S’agissant du service financiers, les besoins des entreprises ne sont pas en adéquation avec les formations trop généralistes dispensées et les filières techniques restent rares.
En ce qui concerne la bonne gouvernance, l’étude de Demain Sénégal constate une lourdeur des procédures judiciaires et peu de transparence sur la gestion des biens publics. Il est noté un manque d’accessibilité́ aux informations justes et vraies par rapport à la gestion des marchés et que les députés ne jouent pas leur rôle au niveau de l’Assemblée Nationale.
Les politiciens, on ne les voit que pendant les élections, après ils ne savent même pas ce que vivent les populations. Il existe une inadéquation entre la formation de la population.
Selon toujours l’étude, le thème de l’entreprenariat est abordé́ sans prendre en compte les réalités du pays. Les gens pensent d’abord à se nourrir qu’aux investissements.
Globalement, il est constaté que les grèves à répétition handicapent principalement les éléves issus de familles modestes. L’ étude montre qu’il y a une forte inégalité d’accès à l’enseignement entre zones urbaines et rurales.
S’agissant du service financiers, les besoins des entreprises ne sont pas en adéquation avec les formations trop généralistes dispensées et les filières techniques restent rares.
En ce qui concerne la bonne gouvernance, l’étude de Demain Sénégal constate une lourdeur des procédures judiciaires et peu de transparence sur la gestion des biens publics. Il est noté un manque d’accessibilité́ aux informations justes et vraies par rapport à la gestion des marchés et que les députés ne jouent pas leur rôle au niveau de l’Assemblée Nationale.
Les politiciens, on ne les voit que pendant les élections, après ils ne savent même pas ce que vivent les populations. Il existe une inadéquation entre la formation de la population.
Selon toujours l’étude, le thème de l’entreprenariat est abordé́ sans prendre en compte les réalités du pays. Les gens pensent d’abord à se nourrir qu’aux investissements.