Le troskiste néo libéral Mahmouth Saleh est connu pour son imagination d’une fertilité excessive, allant de son invention du « coup d’État rampant » d’alors (étant acquis qu’un coup d’État qui rampe ne réussira jamais) à la défense avec des arguments incongrus, du régime finissant du président Macky Sall.
Tout y passe !!! De l’explication platonique des prouesses du marabout politicien Serigne Mansour Sy Jamil à une tentative diabolique de rassembler les morceaux de ce qui n’est qu’un début d’éclatement du pseudo-parti APR et de sa coalition, Mahmoud Saleh, le démagogue en chef du régime de Macky Sall, ne rate aucune occasion pour s’illustrer par son ignorance notoire de la réalité actuelle du Sénégal ; à moins qu’il ne soit pathologiquement dans un autre monde, dans un autre pays, le pays imaginaire de Trotsky !
Sinon, comment comprendre que ce ministre d’État ne puisse pas admettre que c’est le moment, pour le Président Macky Sall, de payer ses trahisons et ses errements. Oublie-t-il qu’au lendemain de la seconde alternance, le président Wade lui avait proposé de rassembler la famille libérale qui devait être le socle de sa gouvernance en lieu et place de l’injuste et sélective traque de biens dits « mal acquis » alors théorisée par les thuriféraires socialistes et autres gauchistes opportunistes qui l’entourent, à des fins exclusives de vengeance ? Le peuple n’a pas oublié !
Cet homme, au crépuscule de sa carrière politique sinusoïdale oublie-t-il les reniements récurrents du Président Macky Sall durant ses six années de pouvoir. Reniements allant de l’abandon du « Yoonou Yokouté » au parrainage de candidatures sans oublier le mandat de sept ans et le décret fraternel signé pour l’affairiste Aliou Sall, lui confiant ainsi, au propre comme au figuré, les fonds amassés dans la Caisse des Dépôts et Consignations? Le peuple n’a pas oublié !
Cet homme oublie-t-il la répression quasi quotidienne de toutes velléités d’opposition et les reculs successifs infligés à notre démocratie et à notre système social durant six ans de piètre gouvernance? L’on peut citer, entre autres, une Assemblée nationale instrumentalisée, une politique économique qui promeut les entreprises étrangères, un système éducatif en faillite, un système de santé à l’agonie, une justice partisane ... Le peuple n’a pas oublié !
Ouvrez vos yeux, Mahmoud ! Nous ne sommes ni à l’ère de l’industrialisation ni à celle de la lutte des classes. Nous ne sommes pas non plus à la période de la démagogie d’État durant laquelle, par la théorie, on pouvait mobiliser les masses populaires à des fins partisanes. Nous sommes à l’ère de la réalité politique rythmée par la satisfaction des besoins quotidiens du citoyen appelée sous nos cieux, demande sociale. Nous sommes à l’ère de la démocratie d’opinion qui signifie qu’entre deux élections présidentielles, l’opinion influe sur la marche du pays (sondages d’opinion, grèves, marches, etc.). Le brassard rouge est une trouvaille du génial Abdoulaye Wade qui avait, lui, compris l’obligation qu’a tout dirigeant d’écouter son peuple.
La crise qui secoue votre soi-disant parti pompeusement appelée Alliance pour la République et votre coalition contre-nature, est un signe annonciateur d’une décadence qui se précise et s’aggrave au fur et à mesure que l’on s’approche de la date fatidique du 24 février 2019.
Vous utilisez l’appareil d’État qui vous a été confié pour améliorer le bien-être du Sénégalais à des fins de maintien, À TOUT PRIX, au pouvoir. Le peuple a de multiples raisons de vous sanctionner et quelles que soient vos théories et pratiques d’ailleurs, nul ne le privera d’exercer son droit de se défaire d’un régime d’incompétents portés par de vieux gauchistes nostalgiques d’un centralisme d’État dépassé et avides de pouvoir.
« Jiko ak boroom ba ci pakh », disent les Wolofs. Les trotskistes, où qu’ils se trouvent, demeureront, malgré un habillage libéral de circonstance, des adeptes de la dictature qu’ils essayeront de maquiller et de légitimer par la théorie. Cette période est révolue. Vous êtes aujourd’hui tellement déconnectés des réalités des Sénégalais que les repères ont bougé à votre insu, Mahmoud. Ce qui rend toutes vos analyses caduques. Vous l’apprendrez bientôt à vos dépens. La reconversion libérale ne réussira jamais, et l’exemple du régime inerte et incompétent de Macky Sall en est une preuve.
L’évolution du monde ne nous permet plus de nous accrocher à un passé idéologique qui a déjà fait les preuves de son incapacité sous d’autres cieux. Le peuple sénégalais a fini de comprendre que son bien-être ne peut pas être pris en charge par un chimérique « Yoonou Yokouté » transformé en un irréaliste PSE. Le libéralisme social prôné par le président Abdoulaye Wade, qui a fait ses preuves ici et ailleurs (Côte d’Ivoire), balayera les dernières illusions trotskistes des tenants du pouvoir et de ses acolytes. It is pay back time !!!
Rendez vous à l’évidence :
La théorie machiavélique, pardon, trotskiste ne fera qu’accélérer la cadence de votre chute.
Le peuple vous sanctionnera !
Votre semblant de coalition se disloquera, votre parti avec ! C’est cela la suite logique des déboires que vous avez fait subir au peuple depuis maintenant, six années.
Dakar, le 7 mai 2019
Dr. Cheikh Tidiane Seck
Président des Cadres Libéraux
Tout y passe !!! De l’explication platonique des prouesses du marabout politicien Serigne Mansour Sy Jamil à une tentative diabolique de rassembler les morceaux de ce qui n’est qu’un début d’éclatement du pseudo-parti APR et de sa coalition, Mahmoud Saleh, le démagogue en chef du régime de Macky Sall, ne rate aucune occasion pour s’illustrer par son ignorance notoire de la réalité actuelle du Sénégal ; à moins qu’il ne soit pathologiquement dans un autre monde, dans un autre pays, le pays imaginaire de Trotsky !
Sinon, comment comprendre que ce ministre d’État ne puisse pas admettre que c’est le moment, pour le Président Macky Sall, de payer ses trahisons et ses errements. Oublie-t-il qu’au lendemain de la seconde alternance, le président Wade lui avait proposé de rassembler la famille libérale qui devait être le socle de sa gouvernance en lieu et place de l’injuste et sélective traque de biens dits « mal acquis » alors théorisée par les thuriféraires socialistes et autres gauchistes opportunistes qui l’entourent, à des fins exclusives de vengeance ? Le peuple n’a pas oublié !
Cet homme, au crépuscule de sa carrière politique sinusoïdale oublie-t-il les reniements récurrents du Président Macky Sall durant ses six années de pouvoir. Reniements allant de l’abandon du « Yoonou Yokouté » au parrainage de candidatures sans oublier le mandat de sept ans et le décret fraternel signé pour l’affairiste Aliou Sall, lui confiant ainsi, au propre comme au figuré, les fonds amassés dans la Caisse des Dépôts et Consignations? Le peuple n’a pas oublié !
Cet homme oublie-t-il la répression quasi quotidienne de toutes velléités d’opposition et les reculs successifs infligés à notre démocratie et à notre système social durant six ans de piètre gouvernance? L’on peut citer, entre autres, une Assemblée nationale instrumentalisée, une politique économique qui promeut les entreprises étrangères, un système éducatif en faillite, un système de santé à l’agonie, une justice partisane ... Le peuple n’a pas oublié !
Ouvrez vos yeux, Mahmoud ! Nous ne sommes ni à l’ère de l’industrialisation ni à celle de la lutte des classes. Nous ne sommes pas non plus à la période de la démagogie d’État durant laquelle, par la théorie, on pouvait mobiliser les masses populaires à des fins partisanes. Nous sommes à l’ère de la réalité politique rythmée par la satisfaction des besoins quotidiens du citoyen appelée sous nos cieux, demande sociale. Nous sommes à l’ère de la démocratie d’opinion qui signifie qu’entre deux élections présidentielles, l’opinion influe sur la marche du pays (sondages d’opinion, grèves, marches, etc.). Le brassard rouge est une trouvaille du génial Abdoulaye Wade qui avait, lui, compris l’obligation qu’a tout dirigeant d’écouter son peuple.
La crise qui secoue votre soi-disant parti pompeusement appelée Alliance pour la République et votre coalition contre-nature, est un signe annonciateur d’une décadence qui se précise et s’aggrave au fur et à mesure que l’on s’approche de la date fatidique du 24 février 2019.
Vous utilisez l’appareil d’État qui vous a été confié pour améliorer le bien-être du Sénégalais à des fins de maintien, À TOUT PRIX, au pouvoir. Le peuple a de multiples raisons de vous sanctionner et quelles que soient vos théories et pratiques d’ailleurs, nul ne le privera d’exercer son droit de se défaire d’un régime d’incompétents portés par de vieux gauchistes nostalgiques d’un centralisme d’État dépassé et avides de pouvoir.
« Jiko ak boroom ba ci pakh », disent les Wolofs. Les trotskistes, où qu’ils se trouvent, demeureront, malgré un habillage libéral de circonstance, des adeptes de la dictature qu’ils essayeront de maquiller et de légitimer par la théorie. Cette période est révolue. Vous êtes aujourd’hui tellement déconnectés des réalités des Sénégalais que les repères ont bougé à votre insu, Mahmoud. Ce qui rend toutes vos analyses caduques. Vous l’apprendrez bientôt à vos dépens. La reconversion libérale ne réussira jamais, et l’exemple du régime inerte et incompétent de Macky Sall en est une preuve.
L’évolution du monde ne nous permet plus de nous accrocher à un passé idéologique qui a déjà fait les preuves de son incapacité sous d’autres cieux. Le peuple sénégalais a fini de comprendre que son bien-être ne peut pas être pris en charge par un chimérique « Yoonou Yokouté » transformé en un irréaliste PSE. Le libéralisme social prôné par le président Abdoulaye Wade, qui a fait ses preuves ici et ailleurs (Côte d’Ivoire), balayera les dernières illusions trotskistes des tenants du pouvoir et de ses acolytes. It is pay back time !!!
Rendez vous à l’évidence :
La théorie machiavélique, pardon, trotskiste ne fera qu’accélérer la cadence de votre chute.
Le peuple vous sanctionnera !
Votre semblant de coalition se disloquera, votre parti avec ! C’est cela la suite logique des déboires que vous avez fait subir au peuple depuis maintenant, six années.
Dakar, le 7 mai 2019
Dr. Cheikh Tidiane Seck
Président des Cadres Libéraux