Selon la Plateforme, « la fin de non-recevoir opposée par l’administration électorale à une ordonnance exécutoire, est la forme paroxystique du règne de la voie de fait et du non-droit érigé en modes de gouvernance par Monsieur Macky Sall, ses ministres et ses fonctionnaires supplétifs ».
Pour F24 la non-réinscription sur les listes électorales et la non-délivrance de fiches de parrainage au candidat M. Ousmane Sonko, en violation de la décision du juge, sont l’expression d’une volonté dictatoriale d’éliminer une fois de plus, un candidat à la présidentielle, comme ce fut déjà le cas en 2019.
Elle rappelle que la loi électorale est le socle sur lequel repose la démocratie et il ne revient pas à la DGE de porter atteinte aux droits fondamentaux d’un candidat, de contribuer à engendrer une insécurité judiciaire et de creuser le manque de confiance des acteurs impliqués dans ce processus électoral.
« F24 dénonce et condamne fermement, le traitement inéquitable réservé par les autorités aux candidats de l’opposition (Mimi Touré, Abdourahmane Diouf, Malick Gackou, Aîda Mbodj, Khalifa Sall…), dont les convois sont régulièrement agressés par les FDS à travers le pays. Paradoxalement, le candidat du pouvoir, Amadou Bâ, poursuit sereinement sa campagne, sous le couvert de sa fonction et avec les moyens de l’Etat », rajoute le document
Pour F24, ces injustices politiques viennent s’ajouter aux injustices sociales, qui pimentent et parasitent le quotidien des Sénégalais. La hausse du coût de la vie, notamment l'augmentation du prix de l'électricité et des denrées de première nécessité, est un fardeau insupportable pour de nombreux Sénégalais. Cette situation met en évidence l'urgence d'une gestion économique responsable et équitable, ainsi que la nécessité de garantir l'accès aux biens essentiels à tous les citoyens, indépendamment de leurs opinions politiques.
L’autre profonde préoccupation de F24 est relative à la très longue fermeture de l'Université Cheikh Anta Diop (UCAD). « L'éducation est un pilier fondamental de notre société et la fermeture de cette institution emblématique, entraîne des répercussions graves sur l'avenir de nos étudiants. La réouverture de l'UCAD et la garantie d’un environnement éducogène, sont un impératif et une urgence prioritaire dans notre pays », soutient la plateforme.
C’est ainsi que dans ce contexte, F24 exprime « sa solidarité inébranlable envers les enseignants et les étudiants en détention, à Ousmane Sonko, Bentaleb Sow et aux femmes détenues en grève de la faim, ainsi qu’à tous les autres détenus notamment Aliou Sané, Pape Abdoulaye Touré, Modou Ndiaye, qui luttent avec courage pour leurs droits et leur dignité. F24 exige leur libération immédiate et appelle la communauté internationale à porter une attention particulière à leur situation ».
Enfin, « F24 demeure fermement engagé dans la défense des principes démocratiques, de l'État de droit et des droits fondamentaux de tous les citoyens et continuera à surveiller attentivement, l'évolution de la situation en vue de garantir une élection présidentielle inclusive, équitable et transparente en 2024, ainsi que le respect des droits de tous les Sénégalais », conclut le communiqué
Pour F24 la non-réinscription sur les listes électorales et la non-délivrance de fiches de parrainage au candidat M. Ousmane Sonko, en violation de la décision du juge, sont l’expression d’une volonté dictatoriale d’éliminer une fois de plus, un candidat à la présidentielle, comme ce fut déjà le cas en 2019.
Elle rappelle que la loi électorale est le socle sur lequel repose la démocratie et il ne revient pas à la DGE de porter atteinte aux droits fondamentaux d’un candidat, de contribuer à engendrer une insécurité judiciaire et de creuser le manque de confiance des acteurs impliqués dans ce processus électoral.
« F24 dénonce et condamne fermement, le traitement inéquitable réservé par les autorités aux candidats de l’opposition (Mimi Touré, Abdourahmane Diouf, Malick Gackou, Aîda Mbodj, Khalifa Sall…), dont les convois sont régulièrement agressés par les FDS à travers le pays. Paradoxalement, le candidat du pouvoir, Amadou Bâ, poursuit sereinement sa campagne, sous le couvert de sa fonction et avec les moyens de l’Etat », rajoute le document
Pour F24, ces injustices politiques viennent s’ajouter aux injustices sociales, qui pimentent et parasitent le quotidien des Sénégalais. La hausse du coût de la vie, notamment l'augmentation du prix de l'électricité et des denrées de première nécessité, est un fardeau insupportable pour de nombreux Sénégalais. Cette situation met en évidence l'urgence d'une gestion économique responsable et équitable, ainsi que la nécessité de garantir l'accès aux biens essentiels à tous les citoyens, indépendamment de leurs opinions politiques.
L’autre profonde préoccupation de F24 est relative à la très longue fermeture de l'Université Cheikh Anta Diop (UCAD). « L'éducation est un pilier fondamental de notre société et la fermeture de cette institution emblématique, entraîne des répercussions graves sur l'avenir de nos étudiants. La réouverture de l'UCAD et la garantie d’un environnement éducogène, sont un impératif et une urgence prioritaire dans notre pays », soutient la plateforme.
C’est ainsi que dans ce contexte, F24 exprime « sa solidarité inébranlable envers les enseignants et les étudiants en détention, à Ousmane Sonko, Bentaleb Sow et aux femmes détenues en grève de la faim, ainsi qu’à tous les autres détenus notamment Aliou Sané, Pape Abdoulaye Touré, Modou Ndiaye, qui luttent avec courage pour leurs droits et leur dignité. F24 exige leur libération immédiate et appelle la communauté internationale à porter une attention particulière à leur situation ».
Enfin, « F24 demeure fermement engagé dans la défense des principes démocratiques, de l'État de droit et des droits fondamentaux de tous les citoyens et continuera à surveiller attentivement, l'évolution de la situation en vue de garantir une élection présidentielle inclusive, équitable et transparente en 2024, ainsi que le respect des droits de tous les Sénégalais », conclut le communiqué