Le président en exercice de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), Alassane Ouattara, a exhorté mardi ses homologues des pays membres de l’organisation à « trouver des financements alternatifs et durables», pour faire face aux défis sécuritaires, rapporte l’Aps.
« Il nous faut trouver des financements alternatifs et durables afin de faire face à ces défis. A cet égard, je salue notre engagement à mobiliser des ressources propres, soit 500 milliards de francs CFA, (…) pour le financement de la sécurité dans l’espace communautaire de la CEDEAO », a-t-il dit.
Selon le président ivoirien, la mutualisation des forces et des moyens des pays membres de l’UEMOA permettra à l’organisation d’assurer la quiétude dans ses Etats membres.
Il a salué l’action du comité de haut niveau chargé du programme de paix et de sécurité de l’UEMOA et les initiatives prises pour rendre opérationnel le G5 Sahel, une organisation luttant notamment contre le terrorisme au Sahel, créée en 2014 par la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad.
A l’en croire, des avancées sont « nécessaires » pour relever ensemble les défis de la stabilité, de la paix et de la sécurité dans l’espace communautaire. « Toutefois (…), les initiatives sont confrontées aux problèmes de financement », a-t-il précisé.
Alassane Ouattara intervenait à l’ouverture d’une session extraordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UEMOA, dont les huit Etats membres constituent la CEDEAO, avec six autres Etats d’Afrique de l’Ouest.
« Il nous faut trouver des financements alternatifs et durables afin de faire face à ces défis. A cet égard, je salue notre engagement à mobiliser des ressources propres, soit 500 milliards de francs CFA, (…) pour le financement de la sécurité dans l’espace communautaire de la CEDEAO », a-t-il dit.
Selon le président ivoirien, la mutualisation des forces et des moyens des pays membres de l’UEMOA permettra à l’organisation d’assurer la quiétude dans ses Etats membres.
Il a salué l’action du comité de haut niveau chargé du programme de paix et de sécurité de l’UEMOA et les initiatives prises pour rendre opérationnel le G5 Sahel, une organisation luttant notamment contre le terrorisme au Sahel, créée en 2014 par la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad.
A l’en croire, des avancées sont « nécessaires » pour relever ensemble les défis de la stabilité, de la paix et de la sécurité dans l’espace communautaire. « Toutefois (…), les initiatives sont confrontées aux problèmes de financement », a-t-il précisé.
Alassane Ouattara intervenait à l’ouverture d’une session extraordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UEMOA, dont les huit Etats membres constituent la CEDEAO, avec six autres Etats d’Afrique de l’Ouest.