Le vendredi 13 août dernier, le monde s'est effondré sur M. M., une fillette de 14 ans. Selon les déclarations de cette dernière, ce jour-là , elle a croisé un homme du nom de M. B., dans un endroit non loin de son internat.
Ce dernier lui fera croire qu'il l’a reconnue. Ils ont commencé à discuter comme de vieilles connaissances. Après cela, il lui a pris la main pour l'emmener chez lui à Darou Marnane. Dans sa déclaration à la police de Dianatou, la fillette, assistée par sa mère, selon nos informations, est revenue sur cette histoire qui a bouleversé sa vie.
Selon elle, quand le muezzin lui a pris la main pour aller chez lui, à la descente de leur moyen de transport, elle a refusé d’entrer dans la maison. Mais face à l'insistance de ce dernier et sans arrière arrière-pensée, elle a accepté de le suivre. Une fois dans la chambre, poursuit-elle, il a eu avec elle deux rapports intimes avant de passer tout le reste de la nuit avec elle, bien qu’elle ait refusé.
Mais si son bourreau est parvenu à satisfaire sa libido, c’est à cause du silence de cimetière qui régnait dans la maison. Une chose qui ne lui a pas facilité la tâche, selon elle. Au petit matin, renseigne-t-elle, elle l'a réveillé pour lui demander la clef de la chambre, pour qu’elle s’en aille. Le bonhomme lui a remis un billet de 2 000 F CFA ; ce qu’elle n'a pas accepté.
Une fois hors de la maison, elle a couru avant d’entrer dans la première maison qu’elle a vue. Elle a rencontré une femme qui lui a prêté son téléphone afin qu’elle puisse appeler ses tutrices qui gèrent l'internat où elle est inscrite et qui se trouve à Ndamatou. Une fois informée, elles sont venues la récupérer. Après, elles ont décidé d'aller porter plainte au commissariat de police de Dianatou.
Après avoir ouvert une enquête, les hommes du commissaire Bassirou Sarr, le patron de la police de la cité religieuse, sont parvenus à mettre la main sur le présumé suspect, après quelques jours d'investigations. Lors de son face-à -face avec les enquêteurs, selon nos sources, M. B., a confirmé toute la déclaration de la fille, mais a nié avoir eu une quelconque relation intime avec elle. Selon lui, il a invité la fille chez lui, mais il ne s'est rien passé entre eux.
Sauf que dans le cadre de cette enquête, d'après nos interlocuteurs, la victime a été envoyée dans un établissement de santé pour un bilan sanitaire. Après consultation, le certificat médical délivré par le médecin en charge de son dossier a révélé qu’elle a une défloration hyménale récente.
Ainsi, selon nos informations, le muezzin M. B., a été remis hier entre les mains du procureur de Diourbel. Les hommes du patron de la police de Touba lui reprochent les délits de détournement et de viol sur une mineure.
Enquete
Ce dernier lui fera croire qu'il l’a reconnue. Ils ont commencé à discuter comme de vieilles connaissances. Après cela, il lui a pris la main pour l'emmener chez lui à Darou Marnane. Dans sa déclaration à la police de Dianatou, la fillette, assistée par sa mère, selon nos informations, est revenue sur cette histoire qui a bouleversé sa vie.
Selon elle, quand le muezzin lui a pris la main pour aller chez lui, à la descente de leur moyen de transport, elle a refusé d’entrer dans la maison. Mais face à l'insistance de ce dernier et sans arrière arrière-pensée, elle a accepté de le suivre. Une fois dans la chambre, poursuit-elle, il a eu avec elle deux rapports intimes avant de passer tout le reste de la nuit avec elle, bien qu’elle ait refusé.
Mais si son bourreau est parvenu à satisfaire sa libido, c’est à cause du silence de cimetière qui régnait dans la maison. Une chose qui ne lui a pas facilité la tâche, selon elle. Au petit matin, renseigne-t-elle, elle l'a réveillé pour lui demander la clef de la chambre, pour qu’elle s’en aille. Le bonhomme lui a remis un billet de 2 000 F CFA ; ce qu’elle n'a pas accepté.
Une fois hors de la maison, elle a couru avant d’entrer dans la première maison qu’elle a vue. Elle a rencontré une femme qui lui a prêté son téléphone afin qu’elle puisse appeler ses tutrices qui gèrent l'internat où elle est inscrite et qui se trouve à Ndamatou. Une fois informée, elles sont venues la récupérer. Après, elles ont décidé d'aller porter plainte au commissariat de police de Dianatou.
Après avoir ouvert une enquête, les hommes du commissaire Bassirou Sarr, le patron de la police de la cité religieuse, sont parvenus à mettre la main sur le présumé suspect, après quelques jours d'investigations. Lors de son face-à -face avec les enquêteurs, selon nos sources, M. B., a confirmé toute la déclaration de la fille, mais a nié avoir eu une quelconque relation intime avec elle. Selon lui, il a invité la fille chez lui, mais il ne s'est rien passé entre eux.
Sauf que dans le cadre de cette enquête, d'après nos interlocuteurs, la victime a été envoyée dans un établissement de santé pour un bilan sanitaire. Après consultation, le certificat médical délivré par le médecin en charge de son dossier a révélé qu’elle a une défloration hyménale récente.
Ainsi, selon nos informations, le muezzin M. B., a été remis hier entre les mains du procureur de Diourbel. Les hommes du patron de la police de Touba lui reprochent les délits de détournement et de viol sur une mineure.
Enquete