Il est donc raisonnable, qu’Angelina Jolie prenne très au sérieux son poste d’ambassadrice à l’Agence des Nations-Unies pour les Réfugiés.
Il y a quelques jours, le nouveau Président américain a signé un décret interdisant provisoirement l’accès sur le territoire des Etats-Unis, à 7 pays à majorité musulmane. Un décret qui a largement contribué à semer des mouvements de protestation dans plusieurs Etats.
L’ex de Brad Pitt ne pouvait pas rester en marge de ces protestations, vu qu’elle défend la cause des réfugiés.
Angelina est allée plus loin en décidant de prendre sa plume pour publier dans le New York Times un édito à charge. « Les réfugiés sont des hommes, des femmes et des enfants pris dans la fureur de la guerre qui font l’objet de persécution. Loin d’être des terroristes, ils sont souvent victimes du terrorisme eux-mêmes, a-t-elle écrit. […] J’ai six enfants, tous nés dans des pays étrangers, mais ce sont de fiers Américains. Je veux évidemment que notre pays les protège, comme tous nos enfants. Mais je veux aussi savoir que les enfants réfugiés qui peuvent être autorisés à le faire pourront toujours plaider leur cause et bénéficier de la compassion des Etats-Unis – et que nous pourrons nous occuper de notre sécurité sans avoir à tirer un trait sur des populations entières… sous prétexte qu’ils pourraient être un danger du fait de leur religion ou de leur origine. »
afrikmag
Il y a quelques jours, le nouveau Président américain a signé un décret interdisant provisoirement l’accès sur le territoire des Etats-Unis, à 7 pays à majorité musulmane. Un décret qui a largement contribué à semer des mouvements de protestation dans plusieurs Etats.
L’ex de Brad Pitt ne pouvait pas rester en marge de ces protestations, vu qu’elle défend la cause des réfugiés.
Angelina est allée plus loin en décidant de prendre sa plume pour publier dans le New York Times un édito à charge. « Les réfugiés sont des hommes, des femmes et des enfants pris dans la fureur de la guerre qui font l’objet de persécution. Loin d’être des terroristes, ils sont souvent victimes du terrorisme eux-mêmes, a-t-elle écrit. […] J’ai six enfants, tous nés dans des pays étrangers, mais ce sont de fiers Américains. Je veux évidemment que notre pays les protège, comme tous nos enfants. Mais je veux aussi savoir que les enfants réfugiés qui peuvent être autorisés à le faire pourront toujours plaider leur cause et bénéficier de la compassion des Etats-Unis – et que nous pourrons nous occuper de notre sécurité sans avoir à tirer un trait sur des populations entières… sous prétexte qu’ils pourraient être un danger du fait de leur religion ou de leur origine. »
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