D’après les Douanes et la Garde civile espagnoles, l’organisation criminelle qui, durant les deux dernières années, avait réussi à envoyer depuis l’île de la Grande Canarie vers l’Afrique, plus de 5.000 tonnes de déchets dangereux d’appareils électroniques, aurait engrangé plus d’un million et demi d’euros de bénéfice.
Les déchets étaient envoyés par bateaux, « principalement », en Mauritanie, au Nigéria, au Ghana et au Sénégal.
43 personnes ont été interpellées « pour des délits présumés contre l’environnement, faux et usage de faux, et appartenance à une organisation criminelle ». Cette dernière « retirait les déchets de la filière légale » à l’aide d’une « supposée entreprise de gestion, qui falsifiait des documents sur la provenance et la gestion ».
Ces déchets étaient ensuite présentés comme des articles d’occasion pour être envoyés à ces pays africains. Or ces rebuts, qui contiennent notamment du mercure, du plomb, du cadmium, de l’arsenic et du phosphore, doivent être remis à des entreprises autorisées pour leur décontamination.
Les déchets étaient envoyés par bateaux, « principalement », en Mauritanie, au Nigéria, au Ghana et au Sénégal.
43 personnes ont été interpellées « pour des délits présumés contre l’environnement, faux et usage de faux, et appartenance à une organisation criminelle ». Cette dernière « retirait les déchets de la filière légale » à l’aide d’une « supposée entreprise de gestion, qui falsifiait des documents sur la provenance et la gestion ».
Ces déchets étaient ensuite présentés comme des articles d’occasion pour être envoyés à ces pays africains. Or ces rebuts, qui contiennent notamment du mercure, du plomb, du cadmium, de l’arsenic et du phosphore, doivent être remis à des entreprises autorisées pour leur décontamination.