Le prévenu Paul Prince Johnson Okongwu est mort de façon naturelle. Le certificat de genre de mort, délivré par Dr Amadou Kane, médecin au Centre hospitalier régional de Diourbel, vient de lever les doutes. « Le nommé Paul Prince Johnson Okongwu, né le 24/12/1954 à Newi (Nigéria), admis aux urgences médicales le 17/03/2016, ne présente aucun signe de violence », lit-on dans son rapport. Après Dr Amadou Kane, Dr Bakary Thiam, qui a reçu le défunt le 17/03/2016, certifie « avoir examiné minutieusement le corps sans vie de M. Okongwu et n’avoir retrouvé aucun signe faisant évoquer une mort provoquée ». Pourtant, rappelle Le Quotidien, lors de leurs différentes sorties, certaines Ong de défense des droits de l’Homme pensaient que sa mort est liée à des sévices corporels, des traitements cruels et dégradants. Mais des sources pénitentiaires dignes de foi ont toujours soutenu que le Nigérian est décédé de mort naturelle.
Paul Prince Johnson est décédé le 17 mars à la Maison d’arrêt et de correction de Diourbel où il purgeait une peine de 4 mois de prison ferme. Nigérian d’origine, qui avait bénéficié des nationalités canadienne et suédoise, Johnson Prince Paul observait souvent des grèves de la faim pour protester contre son transfèrement à la Mac de Diourbel après son incarcération au Cap Manuel. Il voulait retourner dans ce pénitencier où les conditions de détention étaient relativement acceptables.
Paul Prince Johnson est décédé le 17 mars à la Maison d’arrêt et de correction de Diourbel où il purgeait une peine de 4 mois de prison ferme. Nigérian d’origine, qui avait bénéficié des nationalités canadienne et suédoise, Johnson Prince Paul observait souvent des grèves de la faim pour protester contre son transfèrement à la Mac de Diourbel après son incarcération au Cap Manuel. Il voulait retourner dans ce pénitencier où les conditions de détention étaient relativement acceptables.