L’actuel Directeur général de la Société financière internationale (SFI) Groupe Banque mondiale connaît bien Lamine Diack pour l’avoir côtoyé dans sa jeunesse. Lui qui a commencé l'athlétisme alors benjamin, avant d'intégrer l'équipe nationale de karaté, entre autres temps forts d’une carrière de sportif dont Lamine Diack aura été l’inspirateur.
« Quand j'étais au Jaraaf, le président Lamine Diack était dirigeant du club ; son frère était le président de la section athlétisme du Jaraaf, ils nous ont encadrés, nous ont donné beaucoup de leur temps et guidés. A l’époque nous étions un groupe d’athlètes, ceux qu’on appelait l’école Mansour Dia, mon entraîneur direct », se remémore le DG de la Sfi.
Makhtar Diop se rappelle encore la Quinzaine de la jeunesse, en 77, sous la direction de Lamine Diack, de son frère.
« Diack était un homme extraordinaire, qui n’a jamais épargné une minute de son temps pour apporter son soutien aux jeunes. Il était d’une disponibilité et d’une gentillesse qui dépassent toutes les limites possibles. Il était toujours là à aider les plus jeunes, à donner des conseils ; cela m’a beaucoup inspiré dans toute ma vie, non seulement sportive plus tard, mais professionnelle », tient-il à témoigner.
D’ailleurs, le jeune frère de Makhtar Diop, Dr Mouhamed Diop, plusieurs fois Lion d’or en natation était le président de la fédération de natation : « Il (Lamine Diack : ndlr) nous a tous influencés, il a toujours gardé contact avec nous. Lamine Diack avait compris le lien entre sport et développement, développement académique et développement personnel. Il a été un guide pour nous tous depuis le jeune âge ».
Raison pour laquelle le DG de la SFI tient à présenter ses condoléances à sa fille Aissata Diack (Adja Diack) et à ses autres enfants qu'il a eu à côtoyer dans le cadre du sport dans leur jeunesse.
C'est le lieu également, dit-il, de rendre un hommage à son ami de très longue date, Falilou Kane, récemment disparu. « Nous étions tout un groupe de jeunes athlètes avec Amadou Dia Ba, Moussa Fall, Awa Dioum, Marianne Mendoza etc… de différents clubs et horizons tous couvés par Lamine Diack qui veillait sur nous si affectueusement», se rappelle-t-il.
En effet, si Lamine Diack était une grande figure du sport mondial, c’est grâce à ses performances au niveau professionnel, pour celui qui a commencé une carrière au ministère des Finances : « Il faisait partie des premiers cadres post-indépendance au niveau du ministère des Finances ; allier cela à une carrière sportive - n’oublions pas qu’il a été champion de France -, il a eu une performance qui était de niveau mondial à l’époque quand il était jeune sportif, étudiant, son record de saut en longueur est resté pendant très longtemps dans les annales du sport sénégalais ».
En somme, l’ancien patron de l’athlétisme mondial « était un sportif accompli, un homme qui adorait la jeunesse, qui avait un amour pour la jeunesse, qui était d’une gentillesse et d’une générosité inégalées ».
Parce qu’en tant que mentor, Lamine Diack, aussi, « s’intéressait à nos résultats sportifs, autant qu'à nos résultats scolaires ».
« Quand j'étais au Jaraaf, le président Lamine Diack était dirigeant du club ; son frère était le président de la section athlétisme du Jaraaf, ils nous ont encadrés, nous ont donné beaucoup de leur temps et guidés. A l’époque nous étions un groupe d’athlètes, ceux qu’on appelait l’école Mansour Dia, mon entraîneur direct », se remémore le DG de la Sfi.
Makhtar Diop se rappelle encore la Quinzaine de la jeunesse, en 77, sous la direction de Lamine Diack, de son frère.
« Diack était un homme extraordinaire, qui n’a jamais épargné une minute de son temps pour apporter son soutien aux jeunes. Il était d’une disponibilité et d’une gentillesse qui dépassent toutes les limites possibles. Il était toujours là à aider les plus jeunes, à donner des conseils ; cela m’a beaucoup inspiré dans toute ma vie, non seulement sportive plus tard, mais professionnelle », tient-il à témoigner.
D’ailleurs, le jeune frère de Makhtar Diop, Dr Mouhamed Diop, plusieurs fois Lion d’or en natation était le président de la fédération de natation : « Il (Lamine Diack : ndlr) nous a tous influencés, il a toujours gardé contact avec nous. Lamine Diack avait compris le lien entre sport et développement, développement académique et développement personnel. Il a été un guide pour nous tous depuis le jeune âge ».
Raison pour laquelle le DG de la SFI tient à présenter ses condoléances à sa fille Aissata Diack (Adja Diack) et à ses autres enfants qu'il a eu à côtoyer dans le cadre du sport dans leur jeunesse.
C'est le lieu également, dit-il, de rendre un hommage à son ami de très longue date, Falilou Kane, récemment disparu. « Nous étions tout un groupe de jeunes athlètes avec Amadou Dia Ba, Moussa Fall, Awa Dioum, Marianne Mendoza etc… de différents clubs et horizons tous couvés par Lamine Diack qui veillait sur nous si affectueusement», se rappelle-t-il.
En effet, si Lamine Diack était une grande figure du sport mondial, c’est grâce à ses performances au niveau professionnel, pour celui qui a commencé une carrière au ministère des Finances : « Il faisait partie des premiers cadres post-indépendance au niveau du ministère des Finances ; allier cela à une carrière sportive - n’oublions pas qu’il a été champion de France -, il a eu une performance qui était de niveau mondial à l’époque quand il était jeune sportif, étudiant, son record de saut en longueur est resté pendant très longtemps dans les annales du sport sénégalais ».
En somme, l’ancien patron de l’athlétisme mondial « était un sportif accompli, un homme qui adorait la jeunesse, qui avait un amour pour la jeunesse, qui était d’une gentillesse et d’une générosité inégalées ».
Parce qu’en tant que mentor, Lamine Diack, aussi, « s’intéressait à nos résultats sportifs, autant qu'à nos résultats scolaires ».
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