Toutefois, malgré sa notable contribution électorale, la diaspora demeure désillusionnée, souhaitant ardemment une représentation directe au sein du gouvernement, matérialisée par l'attribution d'un poste ministériel spécifique.
Bien que la diaspora accueille favorablement la nomination de certains de ses membres à des postes ministériels, elle aurait préféré que son département soit élevé au statut de ministère. Ceci aurait assuré une prise en charge plus efficace de ses préoccupations, notamment à travers une politique migratoire mieux coordonnée pour relever les défis actuels de la migration.
En effet, l'un de ces défis les plus urgents réside dans la gestion des procédures administratives liées au renouvellement et à l'obtention de passeports, particulièrement en cette période où une régularisation massive est envisagée en Espagne.
Ces attentes étaient légitimes, étant donné le rôle essentiel que joue la diaspora dans le développement économique, social et culturel du pays. Elle aspirait donc à une reconnaissance institutionnelle à la mesure de son implication politique et de sa capacité à influencer le paysage politique.
La proposition d'instituer un simple Secrétariat d'État chargé des Sénégalais de l'extérieur, émanant certes d'un membre de la diaspora sénégalaise, est perçue comme insuffisante pour répondre de manière adéquate aux attentes et aux aspirations de cette communauté.
En effet, cela risque de reléguer les préoccupations de la diaspora à un niveau subalterne dans l'appareil décisionnel du gouvernement, plutôt que de les intégrer pleinement dans les processus politiques et gouvernementaux. La diaspora désirait une reconnaissance équitable et directe, symbolisée par une représentation ministérielle qui lui aurait accordé une voix prépondérante dans l'élaboration des politiques publiques.
Cette déception met en lumière le sentiment persistant de marginalisation et de sous-estimation de la diaspora dans les sphères politiques et gouvernementales du pays, en dépit de son engagement politique et de sa contribution électorale. Cette situation entrave le potentiel de collaboration et de développement mutuel entre la diaspora et les institutions gouvernementales, renforçant ainsi le sentiment d'exclusion et de déconnexion.
Néanmoins, cette déception peut être perçue comme une opportunité pour la diaspora de renforcer son unité et son organisation, afin de faire entendre sa voix de manière plus efficace et influente.
Elle dispose d'un potentiel électoral important qui peut être mobilisé pour promouvoir une représentation équitable et significative dans les instances politiques et gouvernementales. Elle doit donc œuvrer pour parler d’Une Seule Voix afin d’exercer une pression constante pour obtenir une reconnaissance institutionnelle à la hauteur de son engagement politique et de sa contribution au développement du pays.
En définitive, la déception de la diaspora sénégalaise souligne impérieusement la nécessité d'une reconnaissance politique et institutionnelle accrue de la part du gouvernement.
Malgré son poids électoral significatif et son engagement politique manifeste, la diaspora reste confrontée à une marginalisation persistante dans les sphères politiques et gouvernementales du pays.
Cette situation doit être perçue comme un catalyseur pour renforcer l'engagement et la mobilisation de la diaspora, dans le but de promouvoir une représentation équitable et significative dans les instances politiques et gouvernementales, et ainsi contribuer de manière plus substantielle au développement durable du Sénégal.
Malgré cette déception, la diaspora ne désespère pas pour autant et continue de croire au PROJET proposé par le Président Son Excellence Bassirou Diomaye Faye pour un Sénégal Uni, Souverain, Juste et Prospère.
Momar Dieng Diop/ Espagne
Bien que la diaspora accueille favorablement la nomination de certains de ses membres à des postes ministériels, elle aurait préféré que son département soit élevé au statut de ministère. Ceci aurait assuré une prise en charge plus efficace de ses préoccupations, notamment à travers une politique migratoire mieux coordonnée pour relever les défis actuels de la migration.
En effet, l'un de ces défis les plus urgents réside dans la gestion des procédures administratives liées au renouvellement et à l'obtention de passeports, particulièrement en cette période où une régularisation massive est envisagée en Espagne.
Ces attentes étaient légitimes, étant donné le rôle essentiel que joue la diaspora dans le développement économique, social et culturel du pays. Elle aspirait donc à une reconnaissance institutionnelle à la mesure de son implication politique et de sa capacité à influencer le paysage politique.
La proposition d'instituer un simple Secrétariat d'État chargé des Sénégalais de l'extérieur, émanant certes d'un membre de la diaspora sénégalaise, est perçue comme insuffisante pour répondre de manière adéquate aux attentes et aux aspirations de cette communauté.
En effet, cela risque de reléguer les préoccupations de la diaspora à un niveau subalterne dans l'appareil décisionnel du gouvernement, plutôt que de les intégrer pleinement dans les processus politiques et gouvernementaux. La diaspora désirait une reconnaissance équitable et directe, symbolisée par une représentation ministérielle qui lui aurait accordé une voix prépondérante dans l'élaboration des politiques publiques.
Cette déception met en lumière le sentiment persistant de marginalisation et de sous-estimation de la diaspora dans les sphères politiques et gouvernementales du pays, en dépit de son engagement politique et de sa contribution électorale. Cette situation entrave le potentiel de collaboration et de développement mutuel entre la diaspora et les institutions gouvernementales, renforçant ainsi le sentiment d'exclusion et de déconnexion.
Néanmoins, cette déception peut être perçue comme une opportunité pour la diaspora de renforcer son unité et son organisation, afin de faire entendre sa voix de manière plus efficace et influente.
Elle dispose d'un potentiel électoral important qui peut être mobilisé pour promouvoir une représentation équitable et significative dans les instances politiques et gouvernementales. Elle doit donc œuvrer pour parler d’Une Seule Voix afin d’exercer une pression constante pour obtenir une reconnaissance institutionnelle à la hauteur de son engagement politique et de sa contribution au développement du pays.
En définitive, la déception de la diaspora sénégalaise souligne impérieusement la nécessité d'une reconnaissance politique et institutionnelle accrue de la part du gouvernement.
Malgré son poids électoral significatif et son engagement politique manifeste, la diaspora reste confrontée à une marginalisation persistante dans les sphères politiques et gouvernementales du pays.
Cette situation doit être perçue comme un catalyseur pour renforcer l'engagement et la mobilisation de la diaspora, dans le but de promouvoir une représentation équitable et significative dans les instances politiques et gouvernementales, et ainsi contribuer de manière plus substantielle au développement durable du Sénégal.
Malgré cette déception, la diaspora ne désespère pas pour autant et continue de croire au PROJET proposé par le Président Son Excellence Bassirou Diomaye Faye pour un Sénégal Uni, Souverain, Juste et Prospère.
Momar Dieng Diop/ Espagne