‘’Après un premier report (1er juin 2022) et un deuxième report (1er septembre 2022), la commission vous annonce que la date d’exigibilité de la carte nationale de presse est fixée au 1er décembre 2022’’, a déclaré Daouda Mine au cours d'un point de presse.
Il a assuré que toutes les dispositions ont été prises par les autorités compétentes. De même, a ajouté Mine, la commission a envoyé des correspondances aux ministères, aux autorités décentralisées ainsi qu’aux ambassades, pour leur faire part de l’entrée en vigueur de la carte nationale de presse. “Cela signifie qu’à partir du 1er décembre, seule la carte nationale de presse permettra aux journalistes et aux techniciens des médias d’obtenir certains documents administratifs ou d’accéder à certains lieux, privés ou étatiques”, a-t-il insisté.
A l’en croire, à compter de ce jeudi, “les cartes des maisons de presse ne serviront plus aux journalistes et aux techniciens des médias”.
D'après Aps, les dépôts pour l'obtention de la carte nationale ‘’ont commencé depuis le 15 mars 2021'', a t-il rappelé. ‘’Actuellement, la commission a reçu 1727 dossiers. Nous en avons validé 1286 et 296 sont présentement en examen. Il y a aussi des dossiers qui sont rejetés, car les propriétaires ne remplissent pas les conditions requises par la commission de validation”, a-t-il expliqué.
“La carte est exigée à partir de demain, mais cela ne signifie que les dépôts sont clos”, a-t-il précisé.
Le président de la Commission de la carte nationale de pesse a rappelé que le délai d’examen d’un dossier est de trois mois, ajoutant qu'un lot de cartes sera disponible ce week-end.
Ceux qui ne sont pas sortis d’une école de journalisme “doivent impérativement passer par la commission de validation des acquis de l’expérience avant de bénéficier d’une carte nationale de presse”, a dit Daouda Mine.
Il a ajouté que “les demandes des techniciens des médias, à l’exception des freelances, n’ont pas besoin d’être validées par ladite commission”.
Mine a aussi donné des précisions concernant le journaliste en position de stage et la personne qui est dans une école de journalisme et qui effectue un stage. Pour les premiers, “l’entreprise de presse doit fournir un document qui prouve le lien de la personne avec ladite rédaction, alors que pour le second, c’est à son école de formation qu'il revient de formuler une demande auprès de la commission pour qu’on lui délivre une carte de stagiaire”.
Il a assuré que toutes les dispositions ont été prises par les autorités compétentes. De même, a ajouté Mine, la commission a envoyé des correspondances aux ministères, aux autorités décentralisées ainsi qu’aux ambassades, pour leur faire part de l’entrée en vigueur de la carte nationale de presse. “Cela signifie qu’à partir du 1er décembre, seule la carte nationale de presse permettra aux journalistes et aux techniciens des médias d’obtenir certains documents administratifs ou d’accéder à certains lieux, privés ou étatiques”, a-t-il insisté.
A l’en croire, à compter de ce jeudi, “les cartes des maisons de presse ne serviront plus aux journalistes et aux techniciens des médias”.
D'après Aps, les dépôts pour l'obtention de la carte nationale ‘’ont commencé depuis le 15 mars 2021'', a t-il rappelé. ‘’Actuellement, la commission a reçu 1727 dossiers. Nous en avons validé 1286 et 296 sont présentement en examen. Il y a aussi des dossiers qui sont rejetés, car les propriétaires ne remplissent pas les conditions requises par la commission de validation”, a-t-il expliqué.
“La carte est exigée à partir de demain, mais cela ne signifie que les dépôts sont clos”, a-t-il précisé.
Le président de la Commission de la carte nationale de pesse a rappelé que le délai d’examen d’un dossier est de trois mois, ajoutant qu'un lot de cartes sera disponible ce week-end.
Ceux qui ne sont pas sortis d’une école de journalisme “doivent impérativement passer par la commission de validation des acquis de l’expérience avant de bénéficier d’une carte nationale de presse”, a dit Daouda Mine.
Il a ajouté que “les demandes des techniciens des médias, à l’exception des freelances, n’ont pas besoin d’être validées par ladite commission”.
Mine a aussi donné des précisions concernant le journaliste en position de stage et la personne qui est dans une école de journalisme et qui effectue un stage. Pour les premiers, “l’entreprise de presse doit fournir un document qui prouve le lien de la personne avec ladite rédaction, alors que pour le second, c’est à son école de formation qu'il revient de formuler une demande auprès de la commission pour qu’on lui délivre une carte de stagiaire”.