"Nous en sommes à notre deuxième plan d’actions et nous entamons à partir d’aujourd’hui, une grève de 48h", a déclaré à la presse le chargé de communication du SUTSAS, Mamadou Ameth Kâ.
Selon lui, le secteur paramédical "n’est pas pris en compte" dans le système sanitaire sénégalais.
’’Il est temps pour nous de lutter contre cette injustice qui sévit dans le système sanitaire. Nous constatons aussi que d’autres corporations ont droit à des indemnités auxquelles nous n’avons pas droit et cela n’est pas normal, alors que nous constituons près de 80% du personnel", a-t-il regretté.
Selon lui, ’’le salaire d’un personnel de santé qui est un fonctionnaire, ne dépasse pas 187 000 Francs Cfa".
Il a réclamé une indemnité de responsabilité, de représentativité médicale, ainsi qu’une indemnité de logement et une augmentation de l’indemnité de risque, nous a appris l’APS.
"Les paramédicaux méritent plus de notoriété. Aujourd’hui, nous sommes déterminés à poursuivre notre plan d’actions", a-t-il dit, soulignant que le SUTSAS "ne reculera pas".
"Nous n’excluons pas de faire de la rétention de données, de boycotter les programmes dont le Programme élargi de vaccination (PEV) et la surveillance, pour avoir gain de cause", a-t-il insisté, selon toujours l’Agence.
Les grèvistes vont assurer le service minimum tandis que les services d’urgence seront disponibles.
"Tous les malades hospitalisés seront traités normalement, mais il n’y aura pas de consultations et aucun médecin n’assurera les rendez-vous médicaux", a-t-il soutenu.
Selon lui, le secteur paramédical "n’est pas pris en compte" dans le système sanitaire sénégalais.
’’Il est temps pour nous de lutter contre cette injustice qui sévit dans le système sanitaire. Nous constatons aussi que d’autres corporations ont droit à des indemnités auxquelles nous n’avons pas droit et cela n’est pas normal, alors que nous constituons près de 80% du personnel", a-t-il regretté.
Selon lui, ’’le salaire d’un personnel de santé qui est un fonctionnaire, ne dépasse pas 187 000 Francs Cfa".
Il a réclamé une indemnité de responsabilité, de représentativité médicale, ainsi qu’une indemnité de logement et une augmentation de l’indemnité de risque, nous a appris l’APS.
"Les paramédicaux méritent plus de notoriété. Aujourd’hui, nous sommes déterminés à poursuivre notre plan d’actions", a-t-il dit, soulignant que le SUTSAS "ne reculera pas".
"Nous n’excluons pas de faire de la rétention de données, de boycotter les programmes dont le Programme élargi de vaccination (PEV) et la surveillance, pour avoir gain de cause", a-t-il insisté, selon toujours l’Agence.
Les grèvistes vont assurer le service minimum tandis que les services d’urgence seront disponibles.
"Tous les malades hospitalisés seront traités normalement, mais il n’y aura pas de consultations et aucun médecin n’assurera les rendez-vous médicaux", a-t-il soutenu.